Cette charmante place abritant le palazzo ducale doit son nom à la sœur de Napoléon Bonaparte qui gouverna la cité de 1805 à 1815.

 

 

 

De forme circulaire, il fut édifiée à l’extérieur des remparts de la ville aux alentours du I ou du II siècle d.p. L’édifice qui pouvait accueillir 10000 spectateurs a été détruit par les invasions barbares, et a ensuite servit de carrières pour matériaux de construction. Au moyen-âge on lui donna même le nom de "grotte". Peu à peu, des maisons et commencèrent à s’installer sur les fondations (circulaires) de l’amphithéâtre. La place aujourd’hui parfaitement visible est l’une des particularités de la ville. C’est Nottolini (architecte) qui décida de faire démolir certaines constructions qui étaient nées au centre de la place. C’est ainsi qu’est née la place de l’amphithéâtre

Construit en 1070 sur volonté du pape Alexandre II (1061-1073). Vers la fin du XII siècle, des travaux de restructuration de la façade commencent, et ils dureront jusqu’en 1637 année durant laquelle se conclurent les travaux pour la construction de la Chapelle "Cappella del Santuario". De nombreuses œuvres d’art se trouvent à l’intérieur de cette église, comme par exemple la "Deposizione" de Nicola Pisano (1220 - 1280), les monuments funèbres de Noceto et Bertini réalisés par Matteo Civitali (1436-1501), et enfin les peintures de la Vièrge à l’enfant de Domenico Ghirlandaio (1449-1494) La dernière Cène "Ultima Cena" du Tintoretto (1518-1594). Parmis ces œuvres, l’une des plus importantes est le monument funèbre de Ilaria del Carretto, réalisé par Jacopo della Quercia, ainsi que le crucifix du "Volto Santo". La légende raconte que ce crucifix d’une hauteur de 2,65 m et large de 2,25m aurait été sculpté par Nicodème aidé par la Grâce Divine afin de donner à l’œuvre les semblances du Christ. Le crucifix est resté caché jusqu’à la fin du VIII siècle lorsque l’évèque Gualfredo, guidé par un rêve révélateur le retrouve. L’œuvre avait été embarquée seule sur un bateau e voyagea à la dérive sur la méditerranée jusqu’à Luni. C’est l’évèque de Lucques qui réussit à s’approcher du bateau et il décide de transporter le crucifix en ville.

L’église se trouve dans le coeur du centre-ville de Lucques. Sa construction remonte à l’an 1070, sur commande du Pape Alexandre II. Les travaux pour la construction de l’église se sont déroulés sur une longue période, ce qui a engendré le mélange de plusieurs styles différents.
L’église St Michel se compose de trois nefs et d’un campanile dressé à l’extèrieur de l’édifice.
Le dernier étage du campanile aurait été démoli entre 1364 et 1368 par ordre de Giovanni dell’Agnello (Doge de Pise) car le son des cloches était audible jusqu’à Pise.

L'église prit le nom de S. Frediano lorsqu'au VIII' siècle, la dépouille du saint évèque reposa dans la crypte. L'église s'élevait légèrement au-delà de la ceinture des remparts romains, à proximité de la porte nord et, selon la coutume, sa façade s'orientait vers l'0ccident. Dans d'antiques manuscrits, on l'appelle "Basilica Langobardorum" et les documents (VII' siècle) confirment le ròle qu'elle joua sous l'hégémonie lombarde. Durant la première moitié du XII' siècle, S. Frediano, comme toutes les églises lucquoises, fut entièrement reconstruite. La façade de Saint Frediano, qui set ornée d'une grande mosaïque répresentant "l'Ascension", est tenue pour l'un des exemples les plus authentiques du roman lucquois.

A l'intérieur, l'on remarquera la Fontaine Lustrale roman, les terres cuites des la Della Robbia et les sculptures de Civitali et de Jacopo Della Quercia.

La construction de la Tour Guinigi (haute de 44,25 mètres) porte le nom de la famille Guinigi qui était de riches marchands au XIV siècle. Cette Tour est demeurée la seule des 250 tours qui enrichissaient le paysage de Lucques. La tour est facilement visible dans le centre-ville car sur son sommet se trouve un véritable jardin sur lequel ont été plantés il y a plusieurs siècles des chênes verts. En accédant à la tour vous pourrez également observer les collines qui entourent la ville de Lucques. Entrée payante.

Cette église, fut refaite et considérablement agrandie au XIV' siècle.

L'intérieur comprend une seule nef et trois chapelles rayonnantes. Il abrite entre le deuxième et troisième autel à droite le tombeau de l'évèque Giovanni Guidiccioni, poète et humaniste (1500-1541). Dans l'église il y a aussi les restes du tombeau de Nino Visconti, Juge de Gallura, ami de Dante qui le rappelle dans le chant VIII du Purgatoire. Les fresques qui ornaient la chapelle ont pratiquement toutes disparu : parmi celles qui la décorent aujourd'hui, notez à droite la très belle fresque assez bien préservée (Présentation au Temple et Les noces de Marie), oeuvre d'un artiste florentin du XV' siècle, non encore identifié avec certitude.

L'église prit le nom de S. Frediano lorsqu'au VIII' siècle, la dépouille du saint évèque reposa dans la crypte. L'église s'élevait légèrement au-delà de la ceinture des remparts romains, à proximité de la porte nord et, selon la coutume, sa façade s'orientait vers l'0ccident. Dans d'antiques manuscrits, on l'appelle "Basilica Langobardorum" et les documents (VII' siècle) confirment le ròle qu'elle joua sous l'hégémonie lombarde. Durant la première moitié du XII' siècle, S. Frediano, comme toutes les églises lucquoises, fut entièrement reconstruite. La façade de Saint Frediano, qui set ornée d'une grande mosaïque répresentant "l'Ascension", est tenue pour l'un des exemples les plus authentiques du roman lucquois.

A l'intérieur, l'on remarquera la Fontaine Lustrale roman, les terres cuites des la Della Robbia et les sculptures de Civitali et de Jacopo Della Quercia.

L'église est dédiée au premier évêque de Lucques et patron de la ville. Il est sur la voie de la Decumano, l'une des deux routes qui coupe en deux parties romain Lucca. Il a été construit entre 1522 et 1586 sur les cendres d'une ancienne église, mais il semble que dans le Ie siècle d. C. , était un temple païen. Sur les côtés du portail de la façade, les grandes statues de Saint Paolino et S. Donato, le deuxième évêque de Lucques. Près de l'entrée principale, il y a des grandes sculptures en bois et de précieuses fresques.

De nombreuses œuvres de grand honneur, y compris peintures, fresques et statues dédiée à la sainte patronne de Lucques sont distribués dans l'église. Dans une chapelle est conservé intact le corp de Saint Paolino sur laquelle, sur le quel est écrit l'histoire terrible, que le Saint a souffert le martyre pendant la persécution des chrétiens.

Situé le long des remparts de Lucques le Palazzo Pfanner se distingue par son splendide jardin à l’italienne attribué à Filippo Juvarra (1678-1736), par son grand escalier imposant et par les fresques monumentales de son salon réalisées par Scorsini et De Santi (première moitié du XVIIIème siècle).

Les remparts (encore intactes) de la ville de Lucques sont un exemple de la science militaire du XVI et XVII siècle. Leur construction débute en 1504 afin de protéger la ville de la politique d’expansion de la famille Médicis.
Les remparts mesurent 12 mètres de haut, sont larges d’environ 30 mètres à la base, et s’étendent sur plus de quatre kilomètres. De nombreux arbres bordent les "mura" qui sont accessibles à tous (piétons et vélos).