Le peu de temps que nous avons passé à Cuba nous a quand même permi de faire deux circuits:

 

Sur la Route...

La route qui relie Varadero à La Havane suit parfois la route ou l'on peu voir des derricks, qui defigurent le paysage d'où émane une odeur forte. La route et jalonée de cults de poule. Nous avons fait une Halte sur un belvédère à boire des cocktails de jus de fruit (super bons!) et écouter de la musique locale, nous avons pus admirer le viaduc de Bacunayagua, qui traverse un profond canyon au milieu de splendides panormas survolés par des condors.

 

La Havane

 

 

Nous avons opté pour un visite de LA Havane en voiture avec chauffeur, un peu plus cher certe, mais c'est le moyen idéal pour visiter ce que nous voulons à notre rytme. C'est également un excellent moyen d'en savoir plus sur la vie à Cuba en discutant avec notre chauffeur!

Peu de villes au monde ont conservé un caractère et un charme aussi authentiques que la Havane, décors de scène abandonné, belle endormi attendant que le rideau se lève sur ses fastes. San Christobal de La Habana, fondée sur le site actuel en 1519, connu la prospérité jusqu'au milieu du XXe siècle, et devint rapidement la vitrine la plus rutilante du Nouveau Monde espagnol. La "perle des antilles" étonne ses visiteurs par ses myriades de parcs élégants, de boulevards ombragés, de maisons Belle Epoque, d'immeubles Art décos, de villas modernistes et autres patisseries architecturales où se récvèle le raffinement exhubérant de la culture cubaines. On dévine sans peine l'atmosphère décadente qui règna dans les rues au cours des années 1950, quand les casinos, les "mojitos" (coktails au rhum), les sepectacle érotiques, les bars à cocaïne et autre bouges sulfureux de cette sorcière latine envoutaient les yankees de la puritaine Amérique du Nord.

Cette vie de luxe et de débauche s'arrêta après la Révolution, au profit d'une mythologie révolutionnaire vertueuse et d'une morale socialiste exigeante. La plus part des rue furent rebaptisées, même si les habitants continues souvent à utiliser les anciens noms.

La capitale cubaine a payé un lourd tribut à l"ère postrévolutionnaire. Négligé durant quatre longues décennies, son patrimoine architectural a perdu une grande part de son éclat. Des immeubles de style soviétique ont remplacé les batiments insalubres du centre-ville et des banlieues, et enfanté une austérité qui n'existait pas auparavant. Heureusement, La Havane n'a pas connue la poussée démographique et l'explosion de bidonvilles qui défigurent tant de villes latino-américianes, si bien que l'ancienne "perle des antilles" a conservé de véritable poches d'architecture coloniale, nichées au coeur de ses tentacules de grande métropole.

Grâce au developpement du tourisme suite à l'effondrement du bloc soviétique, le gouvernement Cubain a fait de gros efforts de restauration des vieux quartier du centre ville, qui tombaient en décrpitude. Le plus dur reste à faire car il existe beaucoup de quartiers en piteux état. Le coeur historique de la vielle est classé patrimoine mondial de l'UNSECO depuis 1982.

CENTRE HISTORIQUE (déplacer la souris sur la carte)

La Havane

 

Castillo del Morro et Fortaleza de la Cabaña

Perché aux avant-postes de la péninsule rocheuse qui commande l'entrée du port de la Havane, le Castillo del Morro et la Fortaleza de San Carlos de la Cabaña forment le plus important complexe militaire espagnol du Nouveau Monde.

Castillo del Morro

Le fort espagnol fut dessiné par Giovanni Bautista Antonelli en 1587 afin de se défendre des attaques de pirates. Ce même architecte dessina également El Morro à La Havane. La construction du Castillo de San Pedro del Morro débuta en 1633 pour s’achever 60 ans plus tard mais connut quelques péripéties: le pirate Henry Morgan détruisit une partie du château en 1682.

On peut y voir tout ce qu’il y a de typique aux châteaux : pont-levis, douves, murailles, galeries couvertes, escaliers et casernes, avec une justesse géométrique et esthétique rares pour l’époque.

Dans les cellules destinées aux esclaves africains en transit, vous verrez encore les anneaux scellés aux murs. La petite chapelle a conservé sa croix en bois d’origine sculptée par un artiste espagnol au XVIe siècle.

forterrese de la Cabana

Le nom de San Carlos de la Cabaña lui a été donné en l’honneur du roi Charles III d’Espagne qui ordonne sa construction sur la colline dite de la Cabaña, après avoir échangé aux Anglais la Floride contre Cuba (Traité de Versailles).

Les travaux, commencés en 1763, sont menés tambour battant, puisqu’ils s’achevèrent en 1774. La forteresse mesure 700 m de long et occupe 10 hectares. On dit que le roi en a été ému… " Donnez-moi une longue-vue, aurait-il un jour ordonné, que je puisse apprécier depuis Madrid ce grandiose ouvrage."

La Cabaña est un immense balcon construit à flanc de colline d’où l’on voit, d’un côté la ville et le canal de la baie, et de l’autre la mer. En 1859, 120 canons, des obus de bronze et une garnison de 1 300 hommes, qui pouvait être renforcée jusqu’à 6 000, assuraient une défense très dissuasive puisque jamais elle ne sera attaquée.

À défaut de hauts faits d’armes, il lui incombe donc d’assumer les basses œuvres : elle sert de prison, et de nombreux patriotes y sont incarcérés et fusillés pendant les guerres d’indépendance. Puis, sous les tyrannies de Machado et de Batista, elle est le cadre de nombreux crimes politiques. C’est pourquoi elle sera occupée, en 1959, par le Che et ses guérilleros. Après avoir été restaurée, elle a été ouverte au public en 1986 en tant que musée historico-militaire.

 

Quartier La Habana Vieja

Les 140 he de la vielle ville, véritable caverne d'Ali Baba, concentrent des trésors qui tiennent en haleine. Ses places principale arborent une succession impressionnate de palais d'Hôtle particulier et de maisons coloniales reconverties en restaurants, boutiques, galeries d'art et musées de toute sorte. Bien que littéralement engorgées par ses 74 000 havitants, La Habana Vieja ressemble à un musée à ciel ouvert qui, immanquablement fascine ses visiteurs par le puissants mystère qui se dégage de ses rue tortueuses et décrépites.

Plaza de Armas

Autrefois siège des parades militaires la plus ancienne place de la Havane (1519) acceuillit le sigège du gouvernement durant les 383 années de domination espagnole. Dans le parc bordé de palmiers qui occupe le centre se dresse symboliquement le père de l'indépendance cubaine, Carlos Manuel Céspedes

 

Plaza de la Catedral

La plus intmie et la plus récente des grandes places de la Habana Vieja occupe le site d'un ancien marais, drainé à la fin du XVIIe siècle. De cette modeste origine sont sorties de magnifiques demeures aristocatiques et, surtout, la splendeur baroque de la cathédrale de la Havane. Les musiciens de rue qui animent la place le soir ajoute à son charme suranné.

Plaza de san Francisco

Cette grande place a peu changé depuis l'époque des galions espagnols qui appareillaient dans la baie, les cale chargés de trésors à destinationde la métropole. Le port est aujourd'hui masqué par les anciens bureuax de l'aduana (douane), construits en 1914 et reconertis depuis en terminale Sierre Maestra où accostent les navires de croisière.

Plaza Vieja

Ou "vieille place", acceuillait autrefois le marché aux esclaves et la fista de La Havane. Défigurée dans les années 1930 par la construction d'un parking, puis laissée à l'abandon pendant des décennies, la "viega" renait aujourd'hui grâce à un nouveau pavement et à la rénovation des ses principaux batiments. Partout autour de la place sont affiché des photos sur des pannaux nous indiquant l'état de la place "avant" puis "après".

Place du capitole

Capitole

Le nord de la place est dominé par la coupole du Capitolio qui culmine à 62 m de hauteur. Lardgement inspiré du Capitole de Washington cet édifice néoclassique fut bâti et 1912 et 1929 pour acceuillir les deux assemblées du Congrè cubain. ses deux escaliers de pierre est flanqué de statues en bronze représentant le Travail et la Vertu.

Theatre Nacional

Le Grand Théâtre de La Havane (Gran Teatro de La Habana), a été officiellement inauguré en 1838 même si la première présentation s'est produite au mois de novembre 1837.

C'est le siège du Ballet national de Cuba et c'est dans cet édifice que se déroule le Festival international de ballet de La Havane. Il dispose de plusieurs salles de théâtres, de concerts, de conférences, ainsi que des plusieurs salles de répétitions.

Vedado

 

Le vent de la révolution soufla en tempête sur le quartier de Vedado mais ses larges rues arborées et ses demeures bourgeoises, dominées par les hautes barres des hôtels et des immeubles de bureaux, n'incitent plus aujourd'hui qu'à d'agréables flaneries. Plaza (ou nuevo Nuevo Vedado) accuillent, plus au sud des bâtiment ministeriels, des musées et diverses attractions.

Le Malecón

Les courbes ondoyantes du Malecon, le front de mer de La Havane, furent aménagées par le général et gouverneur américain L; Woods (1860-1927); elles courent sur 7km d'est en ouest, du Prado au rio Allmendares. C'est le lieu de rendez-vous favori des flâneurs, des amoureux et des enfants venant s'ébattre dans les bassins creusés dans les rochers du rivage. Par mauvais temps, les vagues s'envolent par dessus la digue et les batisses jadi glorieuses qui le bordent ont bien du mal à resister aux aux assauts des embruns; beaucoup sont en cours de restauration.

Plaza de la revolution

Baptisée plaza Civica lorsquelle fut conçue dans les années 1950, cette grande place est entourée de plusieurs bâtiments du ministeriels au style monumental.

Au centre de cette place dénudée de 4ha s'élève le vertigineux (17m) "Monument a José Marti" une oeuvre de Juan José Sicre en marbre et en granit représentant le héros de l'indépendance.

cette place et ses alentours n'ont rien d'attrayant si bien que nous avons vite fait le tour !

 

 

Sur les traces d'Hemingway

Ernest Hemingway passa près de 20 ans de sa vie à Cuba. D'abord attiré par la pêche au gros. Il débarqua sur l'île en Avril 1932 et sétablit à l'hotel Ambos Mundos, où il écrivit l'Adieu aux armes et certains chapitres pour qui sonne le glas. Quelques pas le séparait de son bar favori, El Floridita, où il prit l'habitude de boire en compagnie de politiciens, de stars de cinémas, de pêcheurs, personnages que l'on retrouve dans ses romans, notamment, le Viel Homme et la Mer. Il fit don au peuple cubain de son prix Nobel reçu en 1954 et quitta l'île en 1960, gravement maladu du foie, pou se faire soigner aux Etats-Unis. Il mit fin à ses jours, le 2 Juillet 1961, afin d'échapper à la déchéance.

 

La Bodeguita del Medico

Bar-restaurant typique de La Havane, la notoriété du bar s'est accrue grâce aux célébrités qui l’ont fréquenté, parmi lesquelles Salvador Allende, le poète Pablo Neruda, l’écrivain américain Ernest Hemingway. La Bodeguita del Medio est également connue pour avoir créer le cocktail cubain : le Mojito, servi au bar depuis son ouverture en 1942. La particularité de La Bodeguita del Medio réside dans le design des pièces du restaurant, qui sont remplies de curieux objets, de cadres, de photos. Les murs sont recouverts de signatures de clients célèbres ou inconnus, chaque mot laissé raconte un peu de l’histoire de l’île. Le bar offre aujourd'hui aux touristes et aux locaux la possibilité de découvrir l'ambiance particulière et typique de Cuba, sa musique, la cuisine locale et son célèbre Mojito.

 

 

Cayo Largo

 

Île des Antilles située à l'extrême est de l'archipel de Canarreos, Cayo largo possède la forme d'un boomerang, à environ 80 km au sud de Cuba. Ce petit îlot calcaire a 28 km de long et au plus 3 km de large.

Des plages de fin sable blanc s'étendent sur près de 20 km tout le long du littoral sud de l'île, tandis que le côté nord est surtout constitué de mangroves et marais.

Cayo Largo n'a pas de résidents permanents, à part les oiseaux et iguanes bien sûr! Les Cubains y viennent pour travailler dans les hôtels durant 20 jours et retournent ensuite dans leurs familles sur l'île de Cuba ou à Isla de la Juventud pour 10 jours, et ainsi de suite. Ils sont logés au petit village "Isla del Sol" situé au nord-ouest de l'île.

Cayo Largo possède un aéroport international pouvant accueillir les avions gros porteurs. Les hôtels sont situés du côté sud sur une distance d'environ 5 km. Le reste de l'île est quasi désert.

 

Pour nous y rendre de Varadero, nous avons pris bien évidenment l'avion, un vieil avion bi moteur russe. A l'arrivée un comité d'acceuil de danseurs et de musique de boléro nous attendait.

C'est vraiment comme l'indique les guides touristiques un île pardisiaque entouré de belles plages et d'hotel.

Notre programme de la journée: Balade en bateau dans les marécages, visite d'un îlot où se trouvent des iguanes, baignade repas et farignente au bord d'un plage...

 

 

 

Ya encore un serieux travailde restauration à faire !

 

Palacio de la Revolucion

hotel habana libre

Hotel Nationale

El Floridita

El Floridita Buste d'Hemingway sur le bar

El Floridita

Hotel Ambos Hemingway

Hotel Ambos intérieur

Hotel Ambos

A la mémoire du Che
Plaza de Armas et Palacio del Segundo Cabo
Notre première vue sur Cuba du Fort del Morro
place de la révolution
Forteresse San Carlos de la Cabana
Chateau de los tres reyes del Morro
Partagas
Capitole Nationale
Maison natale José Marti
Théâtre National
Hôtel Angleterre
Parc Central
Placette de Albear
Musée de la parfumerie
Basilique San Francisco
Musée Guayasamin
Casa Benito Juarez
Casa de Africa
Casa Obrapia
Musée des voitures anciennes
Musée Numismatique
Templete
Plaza de Armas
Musée De la Céramique artistique
Musée National Catillo de la Real Fuerza
Cabinet Archéologique
Musée de la Ville
Musée des Beaux Arts
Musée national de la musique
Musée de la Révolution
Musée Alejo Carpentier
Musée d'Art Colonial
Centre Wilfredo Lam
Cathédrale de la Havane
Place de la Cathédrale