Turquie

Yurtta sulh, cihanda sulh ou Yurtta barış, dünyada barış

(paix dans le pays, paix dans le monde)

 

 

 

Visites à Istanbul

 

 

 

 

 

Batie tout comme Rôme sur sept collines, la ville a toujours été un important carrefour économique mais également stratégique de par sa position autour du Bosphore. c'est à Istanbul qu'est situé la fontière naturelle entre l'Occident-Europe et l'Orient-Asie. De cette ville est née au cour de l'histoire jusqu'à aujourd'hui, un savant mélange de ces deux continents réunis.

Istanbul, c'est l'unique ville qui par sa position géographique, soit installée sur deux continents. Elle est formé de trois parties : Le sud occupant le centre historique ou la naissance de la ville, plus au nord la corne d'or Galata ou la ville nouvelle, enfin la trosième partie à l'est qui s'étend sur le continent asiatique.

 

Déplacez la souris sur la carte et cliquez sur les points rouges

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La cité Historique (FATIH)

C'est là que se trouvent la pluspart des monuments du début de la période Ottomane, construits ou transformés, sur la période antique et Byzantine.

Le Fatih, comme il est nommé par la ville d'Istanbul, qui signifie "le conquérant" parmi l'un des 39 districts. Fatih constitue le vieux quartier historique au cœur de la ville d'Istanbul. Il s'étend sur la zone prise par Mehmet le Conquérant qui comprend toute la péninsule historique jusqu'aux murs de terre de Théodose à l'extrémité ouest de la vieille ville, c'est-à-dire les zones qui constituaient l'ensemble de la Constantinople byzantine.

 

Palais de Topkapi

Plan (audioguide)

 

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Nous avons visité, l'inmanquable palais de Topkapi, demeure des sultants qui a règné sur la moitié de la méditerranée et le Proche-Orient durant près de 4 siècles. La visite était très longue (toute la journée) mais cela vaut le coup, on imagine la puissance de cet empire déchu à cette époque.

 

 

Le palais de Topkapi fut la résidence des sultants de l'Empire Ottoman, l'un des trois plus grandes puissance du monde durant près de 400ans.

Le palais fût construit après la conquète de Mehmed II le conquérant sur des ruines romaines , entre 1475 et 1478. Aupravant, depuis la prise de constatinople en 1453, la cour impériale logeait dans le palais de Beyazit. Les sultans se succèdèrent, jusqu'au XIXe siècle (1855). Durant cette période, il sera sans cette agrandi et enrichi de nouveau batiments. Son premier nom est Nouveau Palais, mais le peuple donne le nom famillier de "Topkapi" ("la porte du canon"), à cause des grands canons qui se trouvaient devant la porte d'entrée.

C'est le musée le plus visité de de Turquie, il présenté un embrogilio de batiments sous forme de Kiosques, belvédères, mosquée, bibliothèque, Harem ou s'entremèle des salle plus ou moins décorées; qui dit on évoque leurs origines nomades. Il sont bien souvent sans meubles et l'on n'en voit pas le bout, le palais fût réaménagé durant ces 4 siècles par différents sultants.

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Le palais est divisée en 4 cours:

Après être passé par un parc sur une colline aux pentes assez raide, on arrive dans la première cour, après avoir franchis deux énormes portes, les guichets à droite se trouvent (bonjour la queue aux heures de pointe).

1ère cour, ou cour des Janissaires (lieu d'habitation des Janissaires)

A Gauche se trouve l'une des plus grandes églises byzantine de la ville, Sainte Irène (Aya Irini Kilisesi). Construite au VIe siècle par l'empereur Justinien (sur le site d'une église déjà rebâtie par l'empereur Constantin au IVe siècle), mais incendiée en 532. Ce fut l'une des seules églises à ne pas être transformé en mosquée. Elle a servi d'arsenal aux janissaires. Très belle dans son ensemble, et admirablement restaurée, elle est utilisée pour des concerts et spectacles.

 

Mur d'entrée

Entrée vue cour des Janissaires

Entrée vue cour des Janissaires

Détail entrée

Cour des Janissaires

Cour des Janissaires 1

Cour des Janissaires 2

Cour des Janissaires (église ste Irène)

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2ème cour, ou cour des cérémonies

Après avoir franchi la monumentale porte du salut (ou Ortakapi, porte du milieu), encadée par deux tours orthogonales à toiture conique qui datent de l'époque de Soliman le Magnifique 1524. Assez sinistres, elle furent construites par des prisonnier Hongrois !

 

Porte du Salut

Extérieur (Entrée)

Intérieur

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Sur la Gauche se trouvent le Harem (payant et entrée par groupes) et à droite les cuisines.

Le Harem

Le Harem

Le Harem

Les cuisines

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Le Harem

 

Le Harem, immense et biscornu, il se compose de 300 pièces (seulement 20 sont visités et ça suffit). Il était composé de 46 toilettes, 8 bain 4 cuisines, 2 mosquées, 6 celliers, une piscine et une infirmeries de quoi acceuillir autour de 1000 femmes ( favorites et moins, esclaves, couturières, parentes, domestiques, couturiennes, nourricières,...) une vrai ville ! seuls parmi les hommes le Sultan bien sûr qui y séjournait, ses enfants, le médecin et les ouvriers étaient toléré. Cas à part, les Eunuque gardiens du Harem.

Il faut distinguer parmi les Eunuque, gardien du harem, deux sortes: Les noirs à l'intérieur du Harem, les blancs qui surveillaient l'exterieur.

 

 

Entrée (la foule est filtrée)

 

A l'intérieur

Admirez la Mosaïque dans ce lieu interdit (déplacez la souris sur les images)

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La vision extérieur "cage dorée" du fils-héritier du sultan?

 

Le Harem sortie côté 3ème Cour

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Les cuisines, plus de mille personnes y étaient employées servant 5000 couverts par jours allant jusqu'à 15000 lors de festivités. Un banquet pouvait se composer d'une cinquantaine de plats. Dans les salle se trouvent la plus belle collection de porcelaine chinoise au monde (12280 objets).

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La 3e cour

En passant par la porte Bab-i Saadet (de la félicité), on entre sur la 3e cour, qui gardée par des eunuques blancs. Elle était uniquement accessible au sultan et à ses proches ainsi que les hautes personnalitées ambassadeur et diplomates, autorisées.

 

Pavillon des audiences (dr.) bibliothèque (g.)

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Le pavillon des audience (Arz Odasi) revètu de magnifiques faïence au sultan qui y recevait les ambassadeur accrédités auprès de la Sublime Porte.

 

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La bibliothèque Ahmet III, édifice en marbre blanc du XVIIIIe et decoré de boiseries dorées et faience. Elle refermait autrefois 6000 volumes.

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Les anciens Hammans, abritent aujourd'hui des gardes robes ancienne ainsi qu'une collection de tapisseries.

 

Le Trésor,dans cette partie est exposé toute un lot impressionnants de bijoux, vètements, armes, armure et vaisselle en or parfois massif sur 4 salles. Ce lui constitue le "trésor des Sultans de Topkai"

 

Hirka-i Saadet (pavillon des reliques saintes), en face du trésor. Il faut faire pas la la queue et le public rentre au compte-goutte religieusement. C'est dans ce lieu que l'on vénère les reliques les plus précieuses de tout le monde islamique: Le manteau de Mahomet dans un reliquaire, son baton, son épée, l'une de ses dent, la marque de son pied et même quelques poils de sa barbe dans un écrin de crystal serti d'or. Egalement une lettre écrite de sa main. A voir également le baton de Moïse.

Toutes ces reliques furent rapportées d'Egypte par Selim Ier après qu'il se fût emparé du Caire. Le silence est de rigueur afin de respecter ces lieux : Les islamiques ont obtenu qu'un imam psalmodie en permanence des versets du Coran dans la salle, à l'intérieur d'une guerite en verre avec un micro.

 

Mosquée (près du Harem)

 

Salle des miniature et des portraits,toutes formes de portrait des sultans et représentations , interdites par la religion musulmane, sont exposé dans ces salles. Elles furent pendant des siècle jalousement cachée pour eviter de choquer les conseillers les plus fanatiques. Egalement des minature et des gardes robes des sultants.

La 4e cour

Une 4e porte donne accès logiquement à la 4e cour appelée, jardin des tulipes; la fleur favorite du sultan Ahmet III. Dans le jardin plusieurs pavillons avec un grande terrasse surplombant le Bosphore, la mer de Marmara et la côte d'Asie.

 

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Egalement le restaurant-caféteria et sa terrasse très agréable.

 

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Salle de la circoncision non visitable car fermée, nous avons pus la voir à travers les grilles donnant sur la terasse.

 

 

Bağdat Köşkü (pavillon bagdad) très beau à voir, même en fin de visite, recouvert de faïence bleue d'Iznik, avec des boiseries incrustées de nacre et une coupole. Au centre est placé un brassero de cuivre blanc offert par Louis XV au sultant de l'époque. Cette construction fut édifiée par Murat V en souvenir de la conquète de Bagdad par ce dernier.

 

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Ces pavillons, mise à part la superbe vue, m'ont semblé moins intéressant, sans doute à cause de la fatigue après avoir visité les 3/4 du palais.

 

A voir près de la muraille du palais La fontaine du Sultan Ahmet III

 

 

 

Sainte Sophie

 

La basilique Saint-Sophie, l'une des gloires de l'Empire Byzantin qui a été durant près de mille ans le plus grand sanctuaire du monde chrétien, surpassée seulement surpassée seulement par Saint-Pierre de Rome au XVIe siècle. Dédiée à la sagesse divine, elle est la grande oeuvre de l'Empereur Justinien, mais est transformée en mosquée après le prise de la ville par les Ottomans en 1453.

l'édifice actuel, inauguré en l'an 537, construit sur un sanctuaire ancien, necessita plus de 10 000 ouvriers sous les ordres de 2 architectes Isidore de Millet et Anthemios de Tralles, fut réalisé en un temps record : 5 année 10 mois et 10 jours!

On n'hésita pas à piller tous le monuments païen d'Europe et d'Asie comme le gymnase d'Ephèse jusqu'aux temples de Delphes et d'Athènes.

En rentant on a le souffle coupé par l'énormité du batiment et la hauteur de la coupole : 32m de diamètre qui culmine à 56m du sol, reposnat sur 4 énormes piliers. Cela tient du prodige architectural. La plus grande mosquée d'Istanbul, celle de Soliman le Magnifique, ne l'aura pas égalée. Le plus étonnat c'est que cette coupole n'était pas soutenue par des pilier, mais par des demi coupole, un autre prodige architectural. Et fragilisé par des tremblements de terre successifs on renforca l'édifice par l'ajout de 4 énormes pilier qui gâchent un peu.

 

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Lors de la prise de la ville par les Ottoman, Sainte-Sophie fût "transformée" en mosquée. A l'extérieur ou y ajouté 4 Minarets, à l'intérieur, on fit suspendre un immense lustre à la coupole (aujourd'hui démonté, les mosaïques Byzantines furent recouvertes d'un badigeon et des médaillons de 7,5 m de diamètre portant les noms d'Allah, de Mahomet et de quatre premiers califes furent accrochés au murs, des versets du coran peints autour de la coupole, et la loge du sultant fut installée à côté de l'abside. Un croissant remplaça le crucifix géant, et un minhrab la chaire.

Jusqu'en 1935 Aya Sofya servit de mosquée, puis Atatürk transforma l'édifice en musée.

 

Mosquée Bleue

Appelée également Sultanahmet Camii et l'honneur du Sultan Ahmet Ier (d'où son nom) qui ordona sa construction de 1909 à 1916, sur l'emplacement de l'ancien Grand Palais byzantin et une partie de l'ancien hippodrome romain. En seulement 10ans l'architecte désigné Sedefhar Mehmet Ağa, un élève et assistant principal du fameux architecte Mimar Sinan acheva cet edifice religieux.

 

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La mosquée fût surnommé la mosquée bleue à cause des mosaïques qui tapissent ses parois, elle est célèbre pour ses six minarets imposées par le sultan, qui voulait absoluement ce nombre, à l'égal à l'époque de la Mosquée de la Mecque. Pour ne pas froisser les autorités religieuses, Ahmet Ier leurs offrit un septième Minaret !.

On sent que la mosquée bleue a voulut rivaliser avec la cathédrale Sainte-Sophie, localisée un peu plus loin. L'ensemble se compose d'une coupole centrale de 33,6m de diamètre, épaulées par quatres demi coupoles sur quatre piliers cannelés. Impressionnant !

 

Ancien Hippodrome

Son origine remonte à l'empereur romain Septime Sévère en 203 qui construit un premier édifice. Par la suite Constantin le Grand qui lui donne ses dimension définitives 400m de long sur 120 m de large, il fait rajouter la spina, des galerie et de nombreuses satues en provenance de l'orient antique, parmi lesquelles les quatre chevaux de bronze dérobés par la République de Venise, qui figurent, actuellement, sur la place Saint-Marc.

Haut lieu de spectacle de course de char et de chevaux, il pouvait acceuillir plus de 100 000 spectateurs. Un course réunissait d'ordinaire quatre quadriges qui faisaient sept tours de piste. C'était un peu le thermomètre des courants politiques car suivant les couleurs: blanc, bleu réunissait les arictochrates et rouge et vert les commerçants et les artistes; l'emprereur pouvait tester le comportement du peuple Byzantin.

 

Mosquée Soliman

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C'est la plus grande mosquée de la ville, elle arrive à quasi égalité avec saint sophie. Construite entre 1550 et 1557 par Minar Sinan, le plus célèbre architecte ottoman de cette époque. Autour de la mosquée (Süleymaniye), une véritable cité (külliye) a été bâtie, comprenant, un hôpital, une bibliothèque, des écoles, un hamamam, un resto populaire et divers autres services construits autour.

 

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Considèrée comme la plus belle mosquée d'Istanbul, elle est bien visible du haut d'une des sept collines (la 3ème) avec ses quatre minarets au coin de la cour.

La mosquée ressemble étrangement à sainte sophie, plus éclairée avec toutes ses petites fenêtres (138au totalt) et aussi vaste 72 m de large, sa coupole pour 27m contre 31m pour sainte-sophie.

 

Mosquée Fatih

C'est dans le quartier Fatih, en hommage au Sultan Fatih Mehmet (Mehmet le Conquéranr) que l'ontrouve la mosquée. Fatih Camii en turc (Mosquée de Fatih), qui constitue l'un des complexes religieux le plus importent d'Istanbul fut construite entre 1463 et 1470 sur l'emplacement des ruines de l’église des Apôtres, où les empereurs byzantins étaient enterrés, sur la quatrième colline du vieux Constantinople, par l’architecte Atik Sinan sous l’ordre du sultan Mehmed II. 

L’architecte Atik Sinan (ne pas confondre avec Mimar Sinan), fut amputé des deux mains, puis fut exécuté quand le sultan s’aperçut que le dôme de sa mosquée n’atteignait pas la grandeur de celui de Sainte-Sophie.

Hélas, cette version originale de la Mosquée de Fatih fut endommagée par les tremblements de terre successifs avant d’être totalement détruite par celui de 1766. L’actuelle Mosquée de Fatih fut alors construite en 1771, selon des plans différents de l’originale, par l’architecte Mimar Mehmet Tahir sous l’ordre du sultan Mustafa III.

L'ensemble du sanctuaire comprend de nombreux bâtiments annexes : ecoles coraniques, hôpital, bains, chambres pour étudiant, bibliothèque, etc... formant une véritable cité religieuse couvrant une dizaien d'hectares.

 

L'aqueduc de Valens

Commencé sous Constantin, il ne fut achévé qu'en 378 sous l'empereur Valens. L'aqueduc fut construit pour apporter l'eau de l'extérieur de la ville vers le citerne de la Basilique de Philoxenos, afin de résoudre le délicas problème réccurent de l'approvisionnement en eau de la ville. Il sera restauré à plusieurs reprises par le Byzantins et les Turcs.

 

Grand Bazar

Contruit au XVe siècle à l'époque de Mehmed le conquérant, il était en bois à l'époque. Détruit par un incendie, il fut reconstruit en pierre. Avec ses 4 000 échoppes et ses 200 000 m2, il reste le plus grand marché couvert du monde. On y trouve de tout : Tissus, bijoux, tapis, vètement, antiquité... Et pour cause avec 4400 échoppes, 2195 ateliers, 497 éventaires, 20 han, 12 entrepots, 18 fontaines... !

Chaque ruelles a hérité durant la période ottomane, d'un nom en fonction des artisans ou des commerçants qui y exerçaient en majorité (rue des joaillers, de moroitiers, des pantoufliers). Cette diversité et cette spécialisation perdure de nos jours et des boutiques représentatives de chaque corps de metier sont encore présentes au Grand Bazar. Aujourd'hui 15 000 personnes travaillent dans 3 500 magasins dont 1 500 bijoutiers alors que 1 742 boutique sont répertoriées.

L'accès au marché se fait par plus de 18 portes, l'une des plus grnade étant située dans la cour de la mosquée Nuruosmaniye. La devise "Dieu aime celui qui se livre au commerce" est inscrite sur le fronton de cette porte, dans une cartouche ornée armoiries ottomanes.

 

Bazar Egyptien

Ou marché aux épices, il doit sont nom car durant l'époque byzantine, c'était l'emplacement d'un marché où les Vénitiens et les Gènois venaient vendres des épices rares. L'ensemble actuel a été conçu comme partie intégrante du complexe de la mosquée Yeni Valide. Edifié sur un plan en forme de L, construit en pierre de taille et en brique, il comporte quatre entrées principales et plus de 100 boutiques où sont négociées mille et une épices, des miels, des fromages, en provenance de toutes les provinces turques, des fleurs, des viandes sèchées et même des animaux domestiques.

Restauré en 1943 ce marché est fortement imprègné de l'ambiance orientale avec ses couleurs et ses odeur? Boucoup plus exotique que celle du Grand Bazar, devenu le centre des bijoutier et marchand de tapis...

 

Murailles Byzantines

Face aux multiples invasion, des barbares huns aux ottomans, toute une série de fortification furent construites afin de protèger la ville. Celle qui ont résisté au temps et qui actuellement marquent la fontière pour rentrer dans la vielle ville, date de l'Empereur Théodore II. Il les fit construire au Ve siècle pour protèger la ville des invasions terrestres alors qu'Atilla et le Huns avancaient sur constantinople. Un violent tremblement de terre détruisit les remparts en 447, forçant les habitants à les reconstruire en un temps record. En deux moins à peine ils furent reconstruit.

De la mer de Marmara à la corne d'or, ce sont ainsi 7km de remparts qui ferment à l'ouest la péninsule du viel Istanbul : un mur intérieur haut de 12m et large de 5m, sur un mur extérieur haut de 8m et large de 2m et enfin un fosse large de 20m et profond de 10m, qu'on remplissait d'eau en cas d'attaque. Ces fossé sert aujourd'hui de piste de marche et les remparts avec ses 96 tours plus ou moins rénovées existent toujours.

C'est en ouvrant un brèche dans une partie du rempart le 29Mai 1453 que les troupe turques de Mehmet le Conquérant pénétrèrent dans la ville.

C'est possible de faire une promenade le long des rempart, pour les plus téméraires, car il faut compter 1H30 de marche. Au bout, face à la mer de Marmara se dresse le chateau de Yedikule ou des spet tours.

 

Le Chateau des sept tours (Yedikule)

Construit par les Ottomans sous le règne de mehmet le Conquérant à l'emplacement d'une ancienne forteresse byzantine. Cette neceinte fortifiée servait à loger les garnisons qui défendait les portes d'Istanbul.

A l’origine, Yedikule comportait seulement quatre tours, les trois autres tours furent ajoutées en 1458 par le sultan Mehmet II afin de transformer Yedikule en une forteresse. Son caractère défensif lui valut de nombreuses utilisations. Yedikule a d’abord servi comme un trésor de l’époque ottomane avant de devenir une prison pour les stambouliotes et les ambassadeurs étrangers par la suite.

La porte principale de Yedikule fut connue sous le nom de porte d’or, constituant l’entrée par excellence de Byzance à l’époque.

 

Pont Galata

 

 

Le pont relie, a lembouchure de la Corne d'Or, les quartier d'Eminönü (au sud) et de Karaköy (au nord). Les marchand ambulants, cireurs de chaussures et pêcheurs à la ligne partagent avec les piéton pressés l'agitation perpétuelle de ce large pont. Depuis 1845, cinq ponts de Galata furent construits, le dernier en date, achevé en 1994. Le premier fût en bois, on peut le voir sur des cartes postales de l'époque.

Le dernier pont date de 1992, il a remplacé le pont construit en 1910 par les allemand. Il fut rénové en 2002.

 

 

 

La Corne d'Or, Istanbul moderne

La corne d'or doit son non à sa forme, c'est un estuaire qui rentre dans les terres et se jette dans le bosphore. Vu du ciel elle a effectivement la forme d'une corne et brille de l'éclat de l'or au coucher du soleil.

Galata

La quartier de Galata (côte au nord de la Corne d'Or) fût l'un des premiers points habités par sur le site actuel d'Istanbul, on a retrouvé des trace d'habitation datant de 4000 ans av JC. Un accord fut donné par les Byzantins avant la prise de la ville pour installer une communauté Gènoise. Une concession afin de faire face au rival des Byzantins : Venise. Une vraie ville Occidentale s'y est développée, avec ses murailles, ses églises et ses hautes maisons.

Lors du siège en 1453, la communauté gènoise est resté neutre durant le siège et la prise de la ville. Ils ont signé ensuite un acte de reddition qui garantissent non seulement leurs personnes, leurs églises et leurs biens, mais leur donnent aussi une certaine autonomie.

Galata va vivre comme un ghetto latin. C'est là que seront le ambassaadeurs chrétiens et que se fera le commerce avec l'Occident. Dés le début du XIXe siècle Galata devient le coeur éconimique de la ville avec l'installation de puissantes familles levantines, grecques et juives. On voit alors apparaitres de grandes banques occientales et juives ainsi que la puissante banque ottomane.

 

Tour de Galata

Conçue comme la tour principale de fortification gènoises dont il ne reste rien. Haute de 68m, elle dispose d'un panorama exceptionnel sur la ville historique. Décapitée de ses deux derniers étages après la conquète de la vielle en 1453, la tour sert de prison sous Mehmed II le Conquérant. Ensuite après un seisme et incendis succèssif, la tour fût restaurée avec un toit et un étage en plus.

C'est du haut que cette tour que s'élança Hazerfan Ahmet Çelebi au XVIIIe siècle, muni de deux grandes aile et traversa l'autre côté de la Corne d'Or et non pas du Bosphore comme on le prétend. Le sultan de l'époque, impressionné par cet exploit, voulu le réompenser. Mais les autorité religieuse le firent changer d'avis et il fût exilé dans ci qui est actuellement l'Algérie.

 

Mosquee de Dolmabahçe

La Mosquée Dolmabahçe fut construite en 1855 par l’architecte Sarkis Baylan. Connue sous le nom turc de Bezmi Alem Valide Sultan Camii. La Mosquée nommée Mosquée Dolmabahçe du fait de sa proximité géographique et temporelle avec le Palais Dolmabahçe. Cependant, la Mosquée Dolmabahçe ne fait pas partie de l’enceinte du Palais Dolmabahçe, mais bien en avant lorsque l'on se dirige vers le Palais du même non on passe devant.

 

De pur style baroque et néoclassique car réalisé dans periode de Napoléon III, elle ne ressemble en rien aux autre mosquées d'Istanbul, la mosquée a cette particularité de possèder les minarets considérés comme les plus fins du monde.

 

 

 

Ensuite on longe la tour de l'horloge, pour donner l'heure comme l'indique son nom.

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Palais de Dolmabahçe

Plan (cliquer sur l'image)

Le Palais de Dolmahaçe est construit au bord du Bosphore sur un terrain conquit par la mer dés le XVIIe siècle pour devenir un jardin impérial très apprécié des sultans on l'a appelé Dolmabahçe (dolma, « rempli » et bahçe, « jardin »). Plusieur palais furent bâtis avant le palais actuel.

La froideur et l'humdité de de Topkapi et de sa "sublime porte" n'étaient plus adapté au XVIIIe siècle de l'Europe moderne. Fasciné par l'occident, l'Empire Ottoman qui vacille mais toujours aussi puissant, les Sultans veulent un monde plus moderne du "tout Paris" de l'époque de Napoléon III.

C'est sous le règne du sultan Abdülmecit Ie que fût construit le Palais de Dolmahaçe entre 1842 et 1853. La tache revient à l'architecte arménien Garabet Amira Balyan (1800–1866), et de son fils Nigoğayos (1826–1858), Haci Said Aga d'éffectuer les travaux. Six des trente six sultans y ont vécu dans ce palais qui ressemble au château de versaille à l'allure Baroque.

Sur un terrain d'une superficie de 250 000m2 le long du Bosphore, le palais est démesurément grand, le palais en lui même couvrant 14600m2, 64000m2 avec ses dépendances, le reste étant occupé par des jardins. A noter 280pièces, 43 salons, 6 hammams.

 

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Entrée

Entrée

Entrée

Entrée

Entrée vue de l'intérieur

Entrée vue de l'intérieur

Palais

Annexe

Jardin

Jardin

Palais

Palais

Bosqphore

Entrée fluviale

Palais

Palais

 

Entrée Fluviale

Palais

Palais

Palais le long du Bosphore

Harem

Harem

Jardin

Pavillon musée

Palais

Palais

Jardin

Harem

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La façade extérieure est en marbre blanc et l'intérieur est paré d'or, de turquoise et de lapis-lazuli. Porcelaines, lustres en cristal de Baccarat, magnifiques tapis et tapisseries des Gobelins constituent les riches collections du palais.

Impressionnant la salle des audiences ou tous les souverains et hommes d'états, célèbrité de la seconde moitié du XIX siècles ont été invités et se sont rendus dans ces lieux.

Son édification coûta 5 million de livres d'or de l'époque.

Après la redition du dernier sultan, Mustafa Kemal Atatürk, le leader et fondateur de la république de Turquie vécu ses dernier jours dans ce palais où il s'éteignit le 10 Novembre 1938 à 9H05 précise. Ce qui explique pourquoi les horloges sont arrêtées à cette heure, on en compta pas moins de 156 dans tout le palais.

Pour visiter on doit suivre la queue interminable de l'entrée du palais on recommence avec l'intérieur du palais et le Harem. On a passé, plus de temps à faire la queue qu'à visiter !.

 

 

Peur des attentant ou fièrté militaire turque? Le palais est archi gardé à en voir tous ces militaires

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Place Taskim

L'origine de son nom vient du grec signifiant "répartition", c'était l'endroit ou se faiasait la répartition des eaux vers différents quartiers. C'est place est aujourd'hui l'un des principaux noyaux d'Istanbul, réalisée par l'architecte Italien Monceri et le sculpteur Pietro Cannica. Ces oeuvres représentent la lutte pour la libération menée par Atatürk (1919-1921).

 

Mosquée Blanche d'Ortaköy

Véritable bijoux rococo, commandée par Abdulmecid, elle est achevée en 1853 par l'architecte Garabed Balian. On a l'habitude de l'appeler par le nom du quartier, son nom original étant Mecidiye Camii. C'est un édifice baroque, flanquée d'une coupole centrale et de deux minarets fins, qui a subit diverses restauration de 1960 à 1972. Les façade sont en couleur, minrhab est en mosaïque et en couleur blanche. La mosqué rappelle étonnament l'architecture du Palais de Dolmbahçe.

 

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Pont Bogaziçi

Depuis sa construction en 1973, il enjambe gracieusement le Bosphore. Ce fût le prmier à relier les deux continents. Son tablier de 1070 m de long entre deux énormes piliers, culmine à 64m de haut. La traversé se fait en voiture et est interdite à pied à cause des trop nombreux suicides.

 

 

La forteresse de Rumeli

(Hors Carte)

La forteresse, même imposante, n'offre pas de particularités. Son charme vient surtout de son emplacement de rêve au bord du Bosphore. En 1452, le sultant Mehmed II le Conquérant est bien décidé à mettre la main sur l'irréductible Constantinople. Dans la plus grande discrétion, il élabore depuis plusieurs années un vaste projet de conquètes, incluant la conception inédite de canons superpuissants. Rien ne doit être laissé au hasard, surtout pas le détroit de Bosphore qui pourrait bien voir l'arrivée de chrétiens débarquant de la mer via le Danube. Le sultant trace lui-même les plans et plus de 3 000 ouviriers s'affairent et travaillent jour en nuit. En 4 mois et 13 jours ils dressent une forteresse de 250 m de long face à une précèdent forteresse (Anadolu Hisari), un record !

Byzance tombe sans que cette forteresse soit d'une utilité quelconque. On s'empressera d'en faire une prison par la suite, les premiers occupants qui en firent les frais furent le Chevaliers de Malte. Avec le temps, elle sera abandonnée à son sort, voyant même la population s'y installer. Restaurent entre 1953 et 1958, elle est convertie en musée et salle de concerts.

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La partie Orientale

De l'autre côté du détroit de Bosphore se trouve l'autre Istanbul, sur la rive asiatique. On y accède pas des bateaux qui font régulièrement la navette entre les deux. Sinon c'est possible de prendre le pont qui traverse le Bosphore. Conquise par les Ottomans, de restes de l'Empire Byzantin ont pratiquement disparus, plus calme, plus verte. Cette partie englobe une istanbul qui s'etend, de nombreuses mosquées et adiministration furent construite au cours des siècles.

Kiz Kulesi (tour de Léandre)

La tour de Léandre, appelée Kiz kulesi en turc se situe sur un tout petit ilot du Bosphore entre la rive européenne et la rive asiatique d’Istanbul. Rattachée au quartier d’Üsküdar, la tour de Léandre est à coup sûr son édifice le plus célèbre.

 

Historique de la tour de Léandre (Kiz kulesi)

La première tour implantée sur cet ilot fut construite en 408 avant J-C par le général grec Alcibiade. La tour de Léandre a été construite pour contrôler les navires perses au sein du détroit du Bosphore. C’est alors un point de contrôle entre les villes de Byzance et de Chrysopolis.

En 1110, le tour de Léandre fut reconstruite en forteresse par Alexis Comnène, empereur byzantin. Elle a ensuite été modifiée par les turcs ottomans au cours du XVIème et XVIIIème siècle.

La tour de Léandre servit de phare pendant des siècles. Kiz kulesi abrite désormais un café/restaurant offrant un panorama somptueux sur les rives d’Istanbul.

 

Kadikoy installations portuaires

 

En face de la partie européenne, on accède par bateua-navette sur la partie Orientale au deux quartier principaux que sont Usküdar et Kadiköy.

 

Gare de Haydarpasa

La gare ferroviaire d'Haydarpaşa, point de départ des chemins de fer d'Anatolie, est en Turquie le bâtiment le plus important, aussi bien sur le plan architectural qu'historique.

Construite au bord de l'eau en 1909 par deux architectes allemands, la gare de Haydarpaşa est majestueuse. De cette gare partent les trains vers l'Anatolie. Saisissante proximité du rail et du rivage

La mer recouvrait jusqu'en 1903 l'emplacement où se trouve la gare actuelle. En 1872 le premier bâtiment avait été construit un kilomètre plus loin, mais pour permettre le développement des lignes devenues insuffisantes jusqu'à İzmit, il fut décidé de construire une nouvelle gare. Le projet et la réalisation du port maritime et de la gare ferroviaire d'Haydarpaşa furent confiés à une compagnie allemande “Anatolia-Baghdad”.

La construction de la gare commencée en 1906 se termina en 1909. A l'époque d'une superficie de 2525m2, agrandie avec le temps elle recouvre aujourd'hui une superficie de 3836m2. Le bâtiment est un exemple de l'architecture allemande de style néo-renaissance. L'extrémité Est du bâtiment est courte alors que l'extrémité Ouest a une forme de “U” allongé.

 

Caserne de selimiye

Situé sur la rive asiatique, à Üsküdar, la Caserne Selimiye ou Selimiye Kışlası fut construite de 1825 à 1828. C'est un rectangle de 200 x 260 mètres), aux angles duquel on ajouta des tours vers 1840-1850.
La caserne servit d'hôpital militaire pour les soldats anglais pendant la guerre de Crimée (1854-1856). Elle sert toujours de caserne.

 

à côté l'Université

La façade imposante de ce qui fut à l'époque l'Ecole de médecine et qui est maintenant l'université de Marmara à Haydarpaşa. Elle fut construite en 1893-1902 par les architectes Alexandre Vallaury et Raimondo d’Aronco.
Alexandre Vallaury (1850-1921) était un levantin,

 

 

 

Mosquée Blanche d'Ortaköy

Pont Bogaziçi

Le Drapeau Turc flotte sur le Palais

Des gardes veillent sur l'entréee

Aqueduc de Valens

La mosquée Bleue vue de Sainte-Sophie (cliquez sur l'image)
On apperçoit bien le six minarets (cliquez sur l'image)
Sainte Sophie vue de la mosquée bleue (cliquez sur l'image)
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Grand Bazaar

Kadikoy installations portuaires

Mosquée de Dolmabahçe

Les Remparts

Pont de Galata

Place Taskim

Le Château des Sept Tours (Yedikule)

Gare de Haydarpasa

Fort Militaire Caserne de selimiye

Kiz Kulesi (tour de Léandre)

Tour de Galata

Palais de Dolmabahçe

Mosquée Fatih

Mosquée de Soliman

Mosquée Bleue

Agia Sophia (Sainte Sophie)

Palais de Topkapi