Jour 3

En route pour la visite des temples de Mahabalipuram

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Mahabalipuram est une petite ville côtière dans le district du Tamil Nadu très connus pour ses temples au bord de la mer et ses monuments taillés dans la roche. Très connus également pour ses magbnifiques plage, le tout attire de nombreux touristes indiens en particulier.

C'est dans cette région que s'établit durant la période de la grèce antique vers le VIe VIIe siècle, la dynastie des Pallavas . Mahabalipuram était une ville portuaire très florisante, les rois qui y ont règné ont ciselé dans la pierre un fabuleux musée de culture et son temple du rivage.

La ville ne survécut pas à la dynastie. Elle fut redécouverte par des voyageurs européens au XVIIe siècle. Depuis 1984, le site qui comprend un ensemble exceptionnel de temples hindouistes consacrés à Shiva, Vishnou, Krsihna et aux héros du Mahabaratha, est classé au Patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO. Il a souffert en 2004 du Tsunami qui a en particulier endommagé le site des temples du rivage.

Plan de l'ensemble:

Visite des Cinq Rathas (Five Ratha)

Les Cinq Rathas correspondent à un ensemble de cinq temples construits sous forme de chars de processions (ratha), typique de l'Inde du Sud. Le plus impressionnnant c'est qu'ils furent sculpté en un seul bloc dans la pierre, ce qui a dus prendre un temps fous. Nous avons été surpris par leurs raffinements et leurs tailles. Ces cinq chariots sont dédiés à des dieux différents (Durga, Shiva, Vishnou, Brahma, Indra). Ce furent les angalis qui decouvrèrent le site datant du VIIe siècle, au trois quart enfui dans le sable.

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La descente du Gange ou la meditation d'Arjuna (Arjuna's Penance)

et la colline autour

Nous arrivons devant une sculpture en bas relief, probablement le plus grande du monde. Des artistes ont gravé avec un incroyable talent sur un bas-relif de 27mx9m la légende de La Descente du Gange gravée dans le granit.

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Plus en suivant des sentiers on accède à d'autres petits ou grands bas-relifs creusés dans la colline.

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Temple dédié à Ganesh

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Varaha Cave (Grotte de Varaha)

Grotte creusée en l'honneur de Vahara, troisième réincarnation de Vishnou.

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Krishna Butter Ball (bille de beurre)

Impossible de ne pas voir cette enorme boule de granit posée en équilbre sur une pente, certaines personnes ne sont pas effrayées pour passer dessous !

Visite du Temple du Rivage (The Shore Temple)

Construit au bord de la mer, c'est l'un des édifices les plus célèbres du sud de l'Inde. Dédié à Shiva ce temple, modeste de taille, est une figure de proue face à l'Océan dégage une certaine harmonie. En visitant le site, on s'aperçoit qu'il a beaucoup souffert des intempéries de la mer. Plus en service (on ne sait pas s'il a déjà été), son importance reste toujours un haut lieux pour les indiens. Pour le protèger des tempètes, on a construit une digue et aménagé un espace vert autour.

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Vue sur la plage du monument (Pas trop regouissant pour se baigner)

Direction pondichery

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Pondichéry (Puducherry)

Plan de la ville et région (cliquez sur l'image)

Ancienne colonie Française, nous avons été déçu car nous nous attendions à trouver en territoire indien une ville à la française. A part quelques monuments religieux et publics et quelques panneau en français çà et là, rien ne nous fait penser à la France. C'est bien une ville Tamoul avec ses klaxon, sa clameur et son chaos. La ville de Pondy (comme les habitants la nomment) est séparée en deux parties : le quartier français à l'est (près de la mer) et la partie indienne à louest, j'ai franchement pas vu la différence.

L'histoire débute en 1673 quand un militaire français acheta au sultan de Bijapur, au nom de la Compagnies Française des Indes, le village de Poudouchéry. Au départ un endroit très difficile d'accès par la mer et incommode pour y habiter, les premiers colons français ou dus souffrir mais c'était le seul lieu où ils avaient pus le negocier. Pondichéry devint rapidement une base importante pour le commerce à assurer le liaison entre les richesses de l'Inde et la France. Grace à ses début à Francois Martin vers 1685, qui établi les assises de la future prospérité du comptoir. Puis plus tard à Joseph-François Dupleix qui en fit de Pondichéry une cité réputée et fastueuse au point de dépaser sa rivale brtannique. Ce qui n'arrangeat rien car les relations avec les anglais se détèriorèrent, Pondichéry fût prise par les anglais et rasée en 1761. Le traité de Paris rendit aux Français les ruines d'un comptoire jadis prospère. Dès lors Pondichéry ne fût plus qu'une modeste escale sur la route de l'Indochine, avant d'être introduite dans l'union Indienne en 1956.

Arrivée le long de la mer

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Balade dans la ville

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Visite de l'église notre dame des anges

Construite en 1855 sur l'emplacement d'une église ancienne détruite par les anglais, elle fût récenment restaurée.

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Présence de la France

Caserne de Police

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Sur le front de mer

A en voir les photos d'époque, cela a bien changé

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Hotel de ville (ancien, en piteux état)

Front de mer

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Auroville

Situé à 10Km au Nord de Pondicherry, Auroville n'est pas comme on pourrait le croire un ville mais une communauté internationale construite sur un terrain offert par 124 pays où les âmes désintéressées, indifférentes à la religion, la couleur et la nationalité oeuvrent à l'édification d'une ville universelle où domineraient l'amour et la fraternité.

Commencé en 1968 sous investigation de celle que l'on surnome "La Mère"(Mira Alfassa), compagne et disciple de l'ashram Sri Aurobindo (une sorte de gourou), le projet envisageait un maximum de 50 000 habitant. Il y en a actuellement un peu plus de 2000.

Archtecturalement, elle devait se concrétiser sous la forme d'une galaxie tournante : un point au centre symbolisant l'unité (le Matrimandir) un premier cercle pour la créatrion, et des sortes de pétales pour symboliser le pouvoir de l'expression et de la réalisation. Le Matrimandir, au centre, est un énorme batiment sphérique, qui représente le coeur de la cité et abrite un lieu de méditation. Autour, quatre zones s'étendront : culturelle, résidentielle, industrielle et internationale. Le Bharat Niwas, pavillon de l'Inde abrite les plupart des bureaux administratifs, bibliothèque, auditorium... Le projet final n'a pas vu le jour suite au peu de nombre d'occupants.

Entrée après un long chemin en forêt

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Organisation : La population est globalement composée de 40% d'indiens (tamouls pour la pluspart), 15% de français, d'autre nationalité comme Allemand, Italiens,... en tout 40 nationalités cohabitent. Sur un grand espace boisé de 2000 Ha des chemins de terre et sentiers relient les différents points névralgiques de la cité. La grande partie des Aurovilliens circule à vélo ou à moto. Chacun vit dans une communauté "nommée" On y travail selon ses comptétences de manière artisanale aussi proche que possible de la nature sans rejetter les nouvelles technologies. Aussi bin dans l'agriculture bio que les travail du cuir de la poterie et de la vannerie ou bien dans les services finances, éducation, centre d'acceuil. Chaque communauté s'autogère, et une partie des revenu de chacun (pas de loyer) est réintègré aux besoins de la communauté dont il fait partie. Ceux qui décident de rester définitivement à Euroville doivent effectuer une "période d'essai" de 1 à 2 ans, à l'issue de laquelle ils pourront être accepter. C'est possible de changer de communauté ou tout simplement partir d'Auroville si on le souhaite !

Auroville peut se visiter, mais les touriste et étrangers ne sont pas bien vu des résidents Aurovillien qui voient en eux une entrave à leur communauté.