Rhodes (Ville)

 

 

La ville de Rhodes est située à l'endroit précis où fut fondée, en 408 av. J.C. l'antique cité de Rhodes dont la vie continua sans interruption pendant 2400 ans, laissant dans cette ville actuellement grosse de 45 000 habitants des vestiges rapelant pêle-mêle à la mémoire toutes le périodes historiques d'un glorieux passé.

L'Antique Rhodes était beaucoup plus étendue que la ville actuelle: le mur d'enceinte de la cité s'étendait au sud, jusqu'au collines qui séparaient la plaine triangulaire, au cap nord de l'île, de l'arrière pays certaines collines, dont le mont smith, étaient même prisonnières, semble-t-il, de ces impressionnantes murailles dont les vestiges permettent d'évaluer à quelque 700 hectares l'étendue des terres qu'elles encerclaient.

La surface de la ville se réduira sensiblement au Moyen-Age, l'enceinte de la forteresse (Castro) n'embrassant que 48 hectares. Ou l'on estime à 80 000 âmes environs, à l'époque où la ville antique était en plein essort (3e et 2e siècles av JC).

L'architecture de la cité antique était fort différente de la ville moderne, le tracé des rues évoquant l'image d'un damier. Il semble cependant que l'on puisse attribuer, à ce grand organisme que fut Hippodamos de Millet l'élaboration du plan de Rhodes.

La ville moderne offre au regard une variété impressionnante de formes et de couleurs depuis ses plages séduisantes et ses grands immeubles modernes, aux murailles médiévales et aux temples byzantins en apssant par ses quartiers pitoresques pointillés de minarets turcs.

La vieille ville

La vieille vielle de Rhode, appellée également la cité médiévale est un chef d'oeuvre de l'architecture médiévale classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1988.

Dominé par la cité des Grands Maître, les énormes remparts sont hauts de 17 mètres et de 4 km de circonférence entourés de douves sèche, onze porte s'ouvrent sur la vielle ville. La cité fut construite par les Chevaliers de l'Ordre de Saint Jean aux XIV et XVe Siècles sur l'ancienne cité Byzantine puis réaménagée par les italiens au cours de la dernière guerre.

La citadelle était comme de nos jours, constituée de deux secteurs distincts : La partie Nord, comprenant l'acropole des Chevaliers, dite "Castello", et leur demeures officielles; la partie sud, plus vaste comprenant le "bourg" où habitaient les Grecs, les familles de Francs et les Hébreux. Une Muraille interne démarquait ces deux secteurs, suivant à peu près le tracé de l'actuelle rue Sokratous où se tient le marché. Sous l'occupation turque, les Grecs furent chassés de la forteresse qui n'était habitée que par les Turcs et le Hébreux. Les Grecs y avaient accès uniquement de jour.

 

L'Antique Rhodes était beaucoup plus étendue que la ville actuelle : le mur de l'enceinte de la cité s'étendait, au sud, jusqu'aux collines qui séparaient la plaine triangulaire, au cap nord de l'île, de l'arrière pays; certaines collines comme le Mont Smith, étaient même prisonnières, semble-t-il de ces impressionnantes murailles dont les vestiges permettent d'évaluer à quelque 700hectares l'étendue de la terre qui l'encerclaient. La surface de la ville se réduira sensiblement au Moyen-Age, l'enceinte de la forteresse n'embrassant plus que 48hectares.

La ville moderne offre au regard une variété impressionnnante de formes et de couleurs: depuis les plages séduisantes et ses grands immeubles modernes aux murailless médiévales et aux temples byzantins, en passant par ses quartiers pitotoresques pointillés de minarets turcs.

Au cours de ses dernières années, la ville de Rhodes, de même d'ailleurs que l'île entière a connu un essor sans précèdent de développement touristique, mais aussi de l'afflux des ressources investies dans l'îles par des Rhodiens émigrés à l'étranger. L'îles qui vivait de l'agriculture et de la pêche a adapté son économie au Tourisme devenue première source de revenu.

Vieille Ville

Le palais des grands Maitres

Véritable forteresse dans la forteresse par ses dimensions imposantes (80x75m), le palais fut le siège de 19 grands maîtres, le centre névralgique du quartier des chevaliers, et le dernier refuge de la population en cas de danger. L'édifice était si bien construit qu'il n'encourut guère de dommages lors du siège de 1522. Au début de leur occupation, les Turcs s'en servirent comme prisons, puis l'abandonnèrent. L'explosion accidentelle d'une poudrière en 1856 acheva l'oeuvre destructrice des siècles d'abandon. Les Italiens rebatirent le palais sur les ruines de l'ancien édifice, s'efforçant d'en rendre une copie aussi fidèle que possible. Achevé en 1940, le Palais était destiné à acceuillir le roi Victor Emmanuel III d'Italie, ainsi que Mussolini lors de ses visites dans l'ïle.

Le palais récèle de magnifiques mosaïque provenant de Kos, qui ont donné leur nom à certaines salles. Le palais abrite aussi deux expositions.

 

 

Temple d'Aphrodite

Un des rares monument de l'antiquité de la ville, qui date du 3e siècle.

 

Auberges des Chevaliers

Les Auberges au nombre de 7 étaient divisé par nationalité (Auvergne, Provence, France, Espagne (Castille, Aragon), Allemagne, Italie et Angleterre) étaient l'ndroit ou ils se réunissaient (par nationalité). Au cours des nombreux siège chaque Langue avait un quartier de la ville où elles devaient assurer la défense.

 

 

Les Remparts

Construits au XIV ème siècle sur les fondations de l'enceinte byzantine, ils s'étirent sur 4 km de longueur et mesurent 12m d'paisseur. Où à certains endruit, Ils furent construits avec des techniques modernes pour résister aux armes à feu, notament après le 2ème siège par les Turcs.

 

La rue des Chevaliers

Cette célèbre rue médiévale, celle qu'autrefois dans l'antiquité les habitants empruntaient pour se rendre à l'Acropole, est une des mieux conservée et des plus remarquables de la ville de Rhodes. Dans les premiers temps de l'occupation, les Turcs transformèrent les demeures chevalresques en campements militaires pour y installer plus tard quelques familles turques privilègiées.

Au départ cette rue offre à nos yeux un milieu austère, toutefois à mesure que l'on avance dans cette voie de six mètres de large on remarque les drapeau et les blasons des Auberges des langue de Provence, d'Italie, d'Espagne et de France ainsi que de nombreux détails qui notent la présence des chevaliers.

 

Le Musée Archéologique

Ce Musée est installé dans l'ancien Hopital des Chevalier. De style ghotique parfaitement conservé, il fut construit en en 1440 par le Grand Maître de Lastic. C'est imposant édifice, n'est pas sans rappeler la mission initiale de l'ordre des frère "Hospitaliers" chargés de receuillir et de soigner les pélerins des lieux saints, puis plus tard, les croisés. Ce bâtiment abrite aujourd'hui le Musée Archéologique.

 

 

 

Maison Reconstituée de Diomede de Villaragut (dans le musée)

 

Rue Socratous

Apelée aussi "Long Bazaar" par les Turcs, la rue Socratous est renomée pour ses commerce. Elle traverse la vieille ville dominée au bout par la mosquée Soliman et de l'autre côté par la fameuse fontaine de la place Ippokratous. Rue très commercante et idéale pour faire ses achats de souvenir...

 

Mosquée Soliman

Cette mosquée fut érigée en 1522 en l'honneur de la victoire du sultan sur les chevaliers. Reconstruite en 1808 avec des matériaux de l'ancienne mosquée, elle est l'un des joyaux de la ville. Son superbe minaret dut être oté pour des raisons de sécurité en 1989. Longtemps délabrée elle fut récenment restaurée avec finesse. L'intérieur est visitable et représente un joyaux de l'art Ottoman.

 

 

Bibliothèque Turque

Fondée en 1793 par le musulman Ahmet Hafiz Agha, elle contient de nombreux manuscrits turcs, arabes et persans, dont une chronique anonyme du siège de la ville en 1522 ainsi que deux Corans richement enluminés, datant des années 1412 et 1540.

 

 

Les Rues de la Vieille Ville

 

Non loin de la bibliothèque plus à l'ouest de la cité, la rue Hippodamos nous introduit au centre même de ce qui fût le quartier Turc et qui dans l'état actuel conserve encore quasi intact son caractère médiéval. Les rues et l'architecture de plusieurs maisons rappellent sensiblement l'époque "chevalresque" de l'île. Les arcades construites par les Turcs en traversdes rues (mesures antisismiques) confère au quartier une couleur plus spécialement orientale.

 

 

Hammam

Le Hammam fût construit par Mustafa Pacha en 1765, voué autrefois à la détente de l'aristocratie orientale, reçoit aujourd'hui des Grecs, des trouristes et des membres de la minorité turque. Cela semble sympa vu de l'extérieur surtout qu'il viens d'être rénové.

 

Mosquee Redjep Pacha

Construite en 1588 avec des matériaux souvent "empruntés" aux églises byzantines ou aux édifices des Chevaliers elle était à l'époque la plus belle mosquée de Rhodes. Une jolie fontaine en garde encore l'entrée, tandis qu'à l'arrière, le sarcophage de Redjep Pacha repose en paix dans une chambre étroite aménagée dans une arcade.

 

Place Hippocratous

Cette place était le coeur du quartier marchand au Moyen-Age. Surmonté d'une fontaine turque c'est le quartier le plus visité de la ville. Il se trouve aussi les vetiges d'un des principaux batiments des Chevaliers, couramment appelé le Kastellania : il s'agissait en fait d'une chambre de commerce où les négociants se retrouvaient pour conclure leurs marchés, tandis qu'à létage se situait le tribunal de commerce.

 

Quartier Juif et places des Martyrs Juifs

A l'est de la place Hyppocrate, la rue Aristotèle, conduit au vieux quartier juif et à la place des Martyrs Hébreux, appelés ainsi à la mémoire des 2000 juifs qui ont été regroupés sur ordre d'Hitler avant d'^tre envoyé dans les camps de concentration. Une curieuse fontaine orne cette place.

 

Les Trois Cités Grecques

Durant leur occupation de l'île, les grecs fondèrent 3 cités :

Lalissos

Kamiros

Lindos

 

Seul Lindos est encore habité

 

Lindos

 

 

 

Lindos fut fondée par les Doriens au XIIe siècle av. JC, en même temps que Kamiros et Lalissos (Lissos), elle a pris part à la guerre de Troie avec une flotte de neufs navires, alors que Kamiros n'en détacha que deux et Lalissos pas un seul. On peut en déduire qu'elle était, à l'époque, la ville la plus puissante de l'île. Le développement de l'île est principalement du au fait qu'elle disposait de deux ports naturels d'une part et d'autre, d'une Acropole imprenable. Dés le Ve Siècle av JC, les habitants de Lindos ont entrepris de créer des colonie, forts de leur flotte marchande, ils tenaient alors une grande part de la navigation commerciale en méditerrannée. Cette période fut pour la ville l'apogée la gloire et la postérité.

 

 

 

Dans le domaine des arts, les citoyens de Lindos se distinguèrent dans la sculpture. Ayant peu de matériau à cause de la région, ils s'acharnèrent à travailler le bronze. Le fameux Colosse de Rhode fut d'ailleurs élaboré en bronze.

 

Le temple d'Athéna fut érigé en 550 av. JC, de même que l'aqueduc qui subsiste et fonctionne aujourd'hui et alimente la fontaine sur la place du village.

Lorsque la ville de Rhodes fut construite en 408 av JC, Lindos perdit un grand nombre de ses habitants. Le centre de sculpture fut transfèré vers la ville nouvelle, ainsi d'ailleurs que les chantiers navaux. Il n'empèche que pendant longtemps encore, la ville demeura un centre important de navigation marchande ne serait que du fait de sa position géographique. Puis fut ensuite peu à peu délaissée.

 

En 1522, les Chevaliers de St Jean, qui jusqu'alors controlaient le commerce et la navigation, abandonnèrent Rhodes, les conquérants turcs n'ayant aucune tradition en la matière assignèrent aux gens de Lindos la responsabilité et le contrôle de ces secteurs. C'est de cette époque (du XVI au XVIIIe siècle) que date les fameuses maisons des capitaines dont l'architecture et la décoration représentent un phénomène unique. Il ya peu de temps la pluspart de ces curieuses demeures étaient à l'état d'abandon. Les habitants ont entrepris une oeuvre patiente de restauration, sous la supervision du Service Archéologique.

 

 

 

La construction d'hotels étant interdite afin de préserver ce site protègé, l'acceuil des touristes est organisé suivant la formule de la chambre chez l'habitant quelques 2000 lits sont ainsi disponibles pour dormir.

 

Lindos compte aujourd'hui un milier d'habitants. C'est sans doute le village le village de Rhode le mieux connu à l'étranger. Considèré comme un site classé au même titre que les vieux qartiers de Rhodes, Lindos a su préserver son caractère traditionnel.

 

Visite de L'Acropole :

Perchée au sommet d'un rocher de 125m dominant le village, l'acropole est couronnée par le temple d'Athéna Lindia, du IVe siècle av JC, dont les colonnes se détachent sur le ciel. Le temple comptait parmi les sites le plus sacrés de l'Antiquité. Alexandre le Grand s'y rendit de même que, dit-on, Hélène de Troie et Héraclès. Au XIIIe siècle, les Chevaliers de Saint-Jeab fortifièrent la ville avec des remparts plus élevés que les défenses d'origine.

 

 

Je peux incontestablement dire que les habitant de Lindos vivent grâce au tourisme. C'est par millier que les Touristes se rendent à Lindos, pour contempler son Acropole, déambuler dans les rues parsemées de Restaurants et de boutiques à souvenirs, et pour ceux qui veulent se reposer et profiter du soleil, il peuvent se baigner sur ses plages aux parasols payants.

 

Un Vrai paradis pour les Touristes Fatigués de la visite de Lindos ! (Cliquez sur la photos pour agrandir)

 

Note: Pour Monter Visiter L'Acropole sans se fatiguer, les habitants ont trouvé un moyen de transport original...

 

 

 

A l'entrée des habitations, les habitants ont façonné des mosaiques avec des galets sur le sols, dont certains ressemblent à de vrais tapis.

 

 

 

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La Côte Occidentale

La côte battue par les vent compte nombre d'hôtels, de bars et de restaurants, installés sur les plages de galets qui se déroulent de la ville de Rhodes à l'aéroport, situé à Paradisi. En mettant le cap sur le sud, on decouvre des paysages fertiles, avec des vignobles et des versants boisés, parsemés de villages agricoles.

A parcourir des sites intéressants à messure que l'on prend la route :

Lalissos et Kamiros bien entendu les deux anciennes cités grecques-doriennes en ruine.

Mont Filerimos :

Les collines de Filérimos sont couvertes de cyprès et de pins. Entre les arbres se dresse Moni Filerminou. Ses chapelles coiffées de dômes sont ornées de la croix des chevaliers et du blason de pierre d'Aubusson. Sur ce lieu voué au culte depuis deux millénaires, des strates d'histoire et de tradition se superposent. C'est ici qu'étaient érigée l'Acropole de lalissos qui fût d'ailleurs utilisée plus tard par les Byzantins et les Chevaliers à des fins de défense. En 1248, lorsque le Génois s'emparèrent, c'est dans cette place forte qu'il firent le siège des Byzantins. Quand les chevaliers vinrent s'installer à Rhodes, c'est aussi cette position stratégique qu'ils s'empressèrent d'occuper. C'est ici enfin que Soliman le Grand choisit d'établir son état-major d'où il dirigea le grand siège de 1522.

 

Au départ sur la colline fût construite en cet endroit devint bientôt un basilique Notre-Dame de Filerimos sur l'emplacement de laquelle les Chevaliers de Saint-Jean érigèrent au XVe siècle un grand monastère. Transformé en écurie de la cavalerie Turque sous l'occupation, le monastère subit des dégats considérables. Les conquérant italiens se chargèrent de sa restauration.

 

 

Le village d'Emponas (ou Embona)

Les versants qui se déroublent autour de cette bourgade portes les vignobles de l'établissement Emery, depuis les années 1920. On peut également d'excellents vins. Le villages accuse un caractère populaire assez marqué, c'est l'un des rares villages de Rhodes ou l'on rencontre des vieux et des vielles en costume traditionnel.

 

 

 

La Vallée aux Papillons (vallon de Petaloùdes)

Au Centre Nord de l'île, dans une ravine verdoyante au fond de laquelle se précipitent des eaux claires et qui, à chaque été, attire des milliers de visiteurs. Un entomologiste allemand, Rhei-ner Elger, s'est tout spécialement occupé de ce phénomène, etudiant sur place pendant deux étés consécutifs ces papillons qui affluent dans la vallée de Juin à Septembre chaque année. Ces papillons appartiennent à l'espèce Quadripunctoria. Ils vivent partout ailleurs où, comme dans cette vallée, poussent des arbres de l'espèce Liquidibar Orientalis, dont la résine est particulèrement odorante.

En été, les papillons vivent et s'accouplent dans le cadre enchanteur de la vallée où ils déposent leurs oeufs au mois de Septembre. Les oeufs éclorent en Avril, et les chenilles se répandent dans les alentours. En Mai elles se transforment en chrysalides et en Juin elles s'épanouissent en papillons. La chaleur et l'odeur de la résine les attirent vers la vallée, qu'ils rejoignent par des vols nocturnes. Ils s'établissent là, leur cycle recommence; et toujours, même dans les plus chaudes journées, ils essaient de profiter de la plus grande fraicheur possible. Au fond de la vallées, un restaurant discret, style alpin, acceuille les visiteurs.

à l'entrée vente de papillons qui n'ont rien à voir avec ceux que l'on va voir

De la vallée des papillons, un sentier se faufile dans la montagne jusqu'au monastère de Kalopetra, construit en 1784 par alexandre Ypsilantis, gouverneur de la Valachie, qui avait alors été déporté à Rhodes par les Turcs. Le gardien du monastère sert volontier un café ou des rafraichissements.

Photos du Monastère de Kalpetra

On y accèdé après avoir traversé la route

 

 

 

Une balade très sympathique, où l'on grimpe dans la montagne en suivant la rivière en cascade, au travers d'un sentier parsemé d'escaliers. A l'ombre sous les arbres nous n'avons pas réellement senti la chaleur de l'été, mais plutôt la fatigue de cette marche.

 

Diaporama de la visite

 

Remarque : Des milliers de papillons prennent repos et faicheur sur les arbre

 

 

Près des ruine de Kamiros, les ruines impressionnantes du chateau de Kritinia

Le Château fut construit par les chevaliers, ses trois niveaux sont attribués à différents grands maîtres. Les maisons blanches du village de Kristinia sont accrochés à la colline. Il doit sont nom au fait que ses habitant furent des Crétois.

 

 

 

 

La forteresse de Monolithos

Juché au sommet d'un rocher (monos lithos =roc solitaire), un chemin de terre assez étroit et pentu conduit à la forteresse de Monolithos. Ce fort médiéval est l'un des plus extraordinaire de l'île, non tant pour l'édifice - dont il ne subsiste pas grand chose d'ailleurs - que pour son emplacement. Au milieu des ruines, il y a une chapelle de St Panteleimon qui doit dater du XVe siècle.

La vue est splendide de là haut.

 

 

 

Le village se Siana

Situé au pied de l'Akramitis, deuxième montagne de Rhodes (825m). Le village est connu pour son abondante production de miel, mis en vente d'ailleur dans les petit café de la place. A voir son église.

 

 

 

 

Côte Orientale

Bien protégée par les vents, elle offre des kilomètres de plages et decriques rocailleuses où les plages bondées de Faliraki et de Lindos contrastent avec les étendues désertes du sud-est. L'itinéraire dans la moitié orientale a été divisé en deux parties : de la pointe du sud de l'île, à Prasonisi, jusqu'à Pefkoi, et de Lindos jusqu'à la ville de Rhodes. Les paysages sont une véritable mosaïque, réunissant l'oasis d'Epta Pigés, les orangeries des environs d'Arachangelos, des étendues de côte déchiquetée et des plages sablonneuses.

Après la ville de Rhodes, la côte rocheuse se découpe en multitude de petite baies sablonneuses. C'est dans le creu de ces golfes naturel que l'on a construit des complexes hoteliers parmi les plus imposants de l'île.

 

Les thermes de Kalithéa

Au sud de Koskinou, les thermes de Kalithéa étaient autrefois réputées pour leur eaux curatives. Abandonnées, les pavillons coiffés de dômes, les colonnnes de marbre rose et les constructions maureques composent une spectacle étrange. Les thermes ont servi de spectacle à plusieurs films.

 

 

 

 

Faliraki

Station balnéaire très prisées, Faliraki possède de longues plages de sable sur plus de 5 km, bordées d'hotels aux murs blanchis à la chaux, d'appatements et de restaurants. La plage se prète admirablement à la pratique de sports nautiques et possède toute l'infrastructure requise.*

 

 

Epta Pigés

Installé dans la forêt, Epta Pigés, ou sept sources est l'un des joyaux de l'île. Des parois se pavanent au bord des cours d'eau et des cascades où les sept sources alimentent un réservoire central. L'eau sert à irriguer les orangeraies de Kloympia. Le lac est désservi par un chemin traversant la forêt et un tunnel de 185m.

 

 

Archangelos

Dans la vallée d'Athona, s'étend le plus grand village de l'île, Archangelos dont les habitant entretiennent fidelement les traditions artisanales: céramiques, manufactures de tapis, sans compter les fameuses bottes en peau de chèvre qui font la fièrté des cordonniers locaux.

 

 

 

 

 

Travail de la poterie selon différentes étapes: