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Selon eux, lors de la création du monde, 100 enfants vietnamiens seraient nés de l'union d'une fée(créature montagne) et d'un dragon(créature mer). 50enfants sera partie avec la fée dans les montagne et 50enfants vers la côte et la mer.
Placé à l'intersection de deux grandes civilisation que sont l'Inde et la Chine, le terme d'indochine est mal interprèté pour ce pays car le Vietnam constitue un mélanges des deux avec un multitudes d"Ethnies. Ce qui nous fait penser, avec sa géographie, qu'il a été le carrefour migratoire des civilisations de tout temps.
L'origine du peuple Vietnamien bien qu'il soit constitué de plusieurs civilisations, seraient venus en grande partie du monde Chinois par des vallées intérieures, mais aussi de peuples venus des océans comme les Malais ou la Mélanésiens.
Préhistoire
Dans le Nord qui est le point de départ, les hommes parviennent dans le bassins du fleuve Rouge et s'installent sur des plateaux ou dans des grottes, qui constituent un abris. Ils ont un mode de vie et developpement comparable aux hommes préhistoriques.
Dans le sud, l'homme se fixe dans le repli des baies et dans les forêts marécageuses. Vivent de la pêche et de la culture du riz. Ses habitations sont sur pilotis afin de se protèger des attaques des tigres.
Premières civilisations
Au IIIe s. av JC une confédération de tribus s'organise dans le delta du fleuve rouge sous le nom de Van Lang et donne naissance à un état féodal.
Annexée par des populations venues des plaines antérieures, la confédération de Van Lang le nom de royaume du lac, avec pour capitale Lao Tanh, la "cité de la conque" entourée d'une citadelle et prendra le nom de Co Loa.
Arrivée de la Chine
Au IIe s av JC. Sous la dynastie des Han (206 av. à 220 ap JC), les Chinois occupent déjà le Vietnam partagé en deux commanderies s'étendant du Tonkin (Giao Chi) au Nord Annam (Cuu Chan) dirigées par des mandarins.
C'est durant cette période que la Chine importe au Vietnam, des technique artisanales comme le travail du metal, le tissage, l'élevage du ver à soie et des animaux de trait, l'endiguement des fleuves, les techniques de la riziculture.
Egalement, les vietnamiens apprennent les techinques de la science et de la médecine. L'écriture idéographique et le confucianisme sont imposés, suivent le taoïsme et le bouddhisme.
Les premières révoltes en 43 apr JC éclatent contre l'occupation chinoise, dont la plus connue étant cellle dirigée par les soeurs Trung, les "Jeannes d'Arc" du Vietnan aujourd'hui encore héroïnes nationales.
Les dirigeant chinois répriment séverement toute rebellions (une cinquantaine) et imposent leur domination et leur culture.
Et dans le Sud naît un royaume indianisé
Si le delta du fleuve Rouge est dominé par l'empire Chinois, le reste de la péninsule et peuplé d'une mosaïque 
complexe d'Ethnies. Le royaume du Champa apparait à la fin du IIe siècle, au centre ce qui deviendra le Vietnam. Au sud, le royaume de Fou Nan règne sur le delta du Mékong du Ier au VIe siècle avant d'êtres absorbé par l'empire Khmer.
Au milieu du siècle, la Chine est dirigée par les Song (960-1279), mais l'administration impériale se désintéresse de ces terres situées "au delà du Sud".
Une Fragile indépendance
En Chine, dynastie des Tang s'effondre en 907. Ngô Quyên et ses armées profitent de la confusion qui règne sur le Grand Empire pour défaire la flotte chinoise sur le fleuve Bach Dang (voir encradré) non loin de la Baie d'Along.
Bataille de Bach Dang(939)
A Ne pas confondre avec l'autre bataille de Bach Dang qui a eut lui en 1288 (défaite des Mongols)
Occupé par la Chine depuis 111 avant J.C., le Tonkin ne constitua plus pendant près de dix siècles que l'une des provinces de son puissant voisin, la Chine. Vers l'année 902, l'empire Tang s'effondra et s'émietta en plusieurs royaumes. Les Vietnamiens saisirent leur chance et chassèrent le gouverneur chinois tandis qu'un notable, Dưong Dinh Nghé, prenait en mains les rênes du pays .
Un nouvelle dynastie celle des Han du sud se forma, celle si voulut reprendre les rêne de la province du Tokin.
Les Han du Sud pénétrèrent au Vièt Nam en 938 ou 939 (les sources divergent sur la date). Leur armée était composée d'une force terrestre commandée par Liu Kung et d'une flotte de guerre, confiée à son fils héritier, Liu Hung-Ts'ao, qu'il avait nommé roi du Chiao-Chi. Le plan de ce dernier était de descendre rapidement le Bach Dang principale voie de communication fluviale de la région, jusqu'à son embouchure en baie d'Halong et de débarquer ses troupes à cet endroit, en plein cœur du territoire ennemi.
Le Général Ngô Quyen, l'un de ses meilleurs généraux et un homme charismatique et compétent, décida d'éviter tout affrontement avec les troupes de Liu Kung et de concentrer ses forces contre Liu Hung-Ts'ao, dont il avait anticipé les intentions. À cette fin, il installa sa flotte face à l'embouchure du Bach Dong et fit planter dans le lit du fleuve des pieux aux pointes recouvertes de métal et dont la hauteur était légèrement inférieure à celle du niveau de l'eau, à marée haute
Lorsque Hung-Ts'ao et ses navires apparurent, Ngô Quyen les fit harceler à marée haute par des bateaux à fonds plats. Dès le reflux, ils reculèrent vers la mer, entraînant à leur suite les lourds vaisseaux chinois qui s'empêtrèrent dans les pieux qui se révélèrent aussi mortels que des récifs. Immobilisés, leurs coques éventrées, les navires commencèrent à sombrer tandis que le gros de la flotte vietnamienne, qui n'avait pas encore été engagée, se rua à la curée.
Le désastre fut total pour les Chinois. Leur armada fut anéantie, ses équipages noyés ou massacrés.
À l'annonce de la tragédie, Liu Kung arrêta sa progression et retourna en Chine. Le sort de son fils malheureux Hung-Ts'ao est incertain : la plupart des sources affirment qu'il se serait noyé lors de la bataille, mais d'autres prétendent qu'il aurait été capturé.
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Le nouveau souverain établis alors un fragile état indépendant, le Dai Viet (le grand viet), Ngô Quyên est le premier souverain des 12 dynasties à règner sur le Vietnam jusqu'en 1945. C'est n'est qu'avec Dinh Tien Hoan fondateur de le dynastie des Dinh que commence un véritable essor du pays.
Note : principales Dynanties qui règnèrent sur le vietnam
-dynastie Ngô (939-968)
-dynastie des Đinh (968–980)
-dynastie des Lê antérieurs (980–1009)
-dynastie des Lý (1009–1225)
-dynastie des Trân (1225–1400)
-dynastie des Hô (1400–1407)
-dynastie des Tràn postérieurs (1407–1428)
-dynastie des Lê postérieurs (1428–1527 et 1533–1788)
-dynastie des Mac (1527–1677)
-dynastie des Trinh (1539-1592)
-dynastie des Tây Sơn (1778–1802)
-dynastie des Nguyen (1802-1945)
Certaines dynasties se chevauchent car des souverains ont "usurpé" le trone d'autre souverains dans certaines des region du nord au sud.
Les empereur de la dynastie Dinh (968-980), déménagent la capitale à Hoa Lu, véritable forteresse naturelle.
Avides de terres nouvelles les Dinh initient le "Nam Tiên", cette longue descente vers le sud.
En 980, la dynastie des Dinh est remplacée par celle des Lê antérieurs (980-1009). La Chine renonce à administrer directement le Vietnam; elle préfère mettre 
ne place des mandarins qui imposent leur mainmise sur le pays. Ces mandarins prennent le nom de dynastie des Ly (1010-1225), la première des grandes dynasties nationales.
Les Ly engagent une campagne de conquète vers le centre et le Sud, au détriment du Champa, ce qui oblige les populations à fuire dans le delta du mékong, en pays Khmer.
Le Dai Viet s'étoffe en territoire, mais aussi en structure : la première université est fondée dans la nouvelle capitale de Than Long (Hanoi), l'art national s'épanouit et les philosophes Bouddhistes et confucianistes s'ancrent profondément dans les moeurs des Vietnamiens.
Face aux Mongols
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Aux Ly succèdent les Trân (1225-1400). Ils repoussent par trois fois à repousser les voraces Mongols (1258, 1285 et 1288) ce que les chinois n'ont pas réussis à faire. Le Vietnam est le seul pays d'Asie Oriental à porter un coup d'arrêt aux invasions mongols.
Le grand héros est le général Trân Hung Dao lors de la bataille de Bach Dàng (voir encadré).
La bataille de Bach Dang a eut lieu le 9 avril 1288 sur la rivière Bach-Dang pendant la troisième invasion mongole du Viêt Nam (1287-1288). Ce qui est très curieux, c'est que cela s'est passé au même endroit et dans des conditions identiques à celles qui avait vu l'anéantissement d'une flotte chinoise en 939 !
Après deux défaites consécutives de l'invasion sino-mongole de la dynastie Yuan, Kubilaï lance une troisième. Cette fois ci, après le renoncement de son projet d'envahir le Japon, il lève un puissance armée d'un demi million d'hommes, composés de trois corps avec un supplémentaire transportant des vivres.
Avec parmi les trois corps sino-mongols, un seul est terrestre les autres étant à voie maritime ou fluvial,
Face à cette armée considérable, le Vietnam ne pouvait guère résister, le Général en chef ou grand commandeur Tran Hûng Đao, usa donc de ruse et de stratagène.
Il donna l'ordre de s’attaquer d’abord aux réserves alimentaires ennemies pour épuiser l’armée occupante, Trân Khanh Du reçu ainsi la mission d’intercepter et d’anéantir les convois de ravitaillement pour faire échec au plan d’approvisionnement de l’ennemi. Egalement pour affaiblir encore plus l'ennemi, la population rurale laissa les terres en friche et s’engagea, directement ou indirectement, dans l’armée.
Ils avaient également ordre d'harceler les attaquant situé à l'arrière par des petites escarmouches des nuit avec des petites troupes mobile afin de réduire leur puissance et saper leur morale.
A l'aube du 9 avril 1288, précédée par la force de reconnaissance du général Phan Tiep, la flotte sino-mongole du général Omar pénètra dans le Bach Dang à marée haute, sachant, qu'à midi, le niveau d'eau n'atteindrait plus que 90 centimètres. Sur les rives, les Vietnamiens affluèrent en vue de l'affrontement.
A l'arrivée de la marée descendante, le combat s'engagea. Une petite escadre vietnamienne provoqua les Mongols de l'avant-garde puis fit mine de battre en retraite. Les Mongols tombèrent dans le piège et se lançèrent à la poursuite des embarcations vietnamiennes.
Le niveau des eaux ayant encore baissé, les Mongols de Phan Tiep (seconde flotte sino-mongole) furent attaqués, à partir des bras du fleuve, par des jonques légères vietnamiennes qui s'en prirent aux flancs de la flotte d'invasion. Gênés par le bas niveau des eaux, les lourds navires sino-mongols ne tardèrent pas à éprouver les pires difficultés à manoeuvrer.
Les Mongols tentèrent de débarquer leurs troupes mais celles-ci, à peine au sol, tombèrent dans des embuscades et furent rejetées dans les flots.
L'avant-garde mongole fut bientôt suivie par la force principale d'Omar. Les lourdes jonques cantonnaises tentèrent d'éviter les récifs et de trouver les passages les plus profonds. Mais, rapidement harcelées par les petites embarcations vietnamiennes, criblées de flèches, les jonques mongoles durent battre en retraite vers midi. A cet instant, le niveau des eaux était au plus bas. Soudainement, des pieux émergèrent des flots. Entraînés par le courant, les lourds vaisseaux mongols s'échouèrent ou vinrent s'empaler contre les rangées de pieux. Nombre de navires sombrèrent.
Les archers vietnamiens décimèrent les équipages sino-mongols tandis des équipages vietnamiens passèrent à l'abordage.
Dans le même temps, des navires légers, chargés de bûches en feu, furent lancés par les Vietnamiens contre les lourds vaisseaux empallés dans les pieux. Plusieurs jonques s'enflammèrent avec leurs équipages avant de disparaître dans les flots.
Aux abords du mont Tràng Kênh, les Vietnamiens engagèrent la bataille contre les Mongols parvenus au sol. Pris sous une pluie de flèches puis engagés au corps-à-corps, les Mongols subirent de lourdes pertes. Le général Phan Tiêp, blessé par une flèche, fut capturé par les Vietnamiens.
Enfin, d'autres forces vietnamiennes surgirent de l'arrière du dispositif mongol et parachevèrent la déroute des troupes de Koubilaï.
Attaquée de toutes parts, la flotte d'Omar connut la défaite. Parmi les prisonniers mongols, on trouva, outre le général Phan Tiêp, le général Omar et le prince Tich Co. 400 jonques mongoles furent détruites. L'ensemble des troupes qui se replièrent par voie terrestre furent anéanties.
La victoire vietnamienne était totale. Elle sauva l'Asie du Sud-Est de l'invasion mongole.
Retour de la Chine
Un nouvelle dynastie, celle des Hô (1400), ne parvenant pas à obtenir le soutien du peuple et pour imposer son pouvoir, se place sous 
l'aile de la dynastie chinoise des Ming qui occupent à nouveau le pays pendant une dizaine d'années. Le peuple se rebelle, quelque généraux notament le héros national Nguyen Trai, prennent la tête de la révolte.
Les Chinois Ming ont la tâche ardue : en 28 ans, 8 prétendus rois s'insurgent contre leur prétendues autorité. Il faut attendre Lê Loi et 10 ans de guerre pour que les Ming rebroussent chemin. Il crée une nouvelle dynastie celle des Lê postérieurs (1428) qui règna jusqu'en 1789.
Le règne des Lê est interrompu par coup d'état (1527) celui du clan Mac. Ceux ci sont chassé en 1677 par le clan des Trinh, qui aident les Trinh à retouver leur trône.
Vers le Sud
En même temps sous le règne de Lê et sa dynastie, continu leur longue marche vers le sud. A la fin du XVe siècle; Vijaya, la dernière capitale du Champa, tombe aux mains des Vietnamiens. La longue marche vers le Sud tire à sa fin avec les générations suivantes qui atteindront le delta du Mékong au XVIIe siècle.
Les Premiers Européens
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C'est à cette époque que les premiers Européens pose pied au Dai Viet. Les marin Portuguais accostent à Danang, en 1516, suivis par les premiers missionnaires. Au début du XVIIe siècle, les Hollandais ouvrent des comptoires au nord, et la prospère ville de Faifo (Hoi An) voit défiler de nombreux marchands européens sur ses quais. Le commerce ne s'avère pas aussi profitable mais l'évangélisation va bon train malgré les persécutions imprériales.
Vers un état unifié
L'expansion du Dai Viêt sous la dynastie de lê est foudroyante. La pays vacille de révoltes paysannes en guerre civiles, se scindant brutalement. Alors que les Mac prennent possession du Nord, les
Nguyên du Centre et du Sud et que les Trinh mettent en tutelle les Lê. Les hostilités entre le Nord et le Sud dureront deux siècles.
En 1776, les frères Tay Son ouvrent une vague de contestation et renverse les trois empereurs. Leurs règne sera bref, en 1801, le prince Nguyen Anh entre dans Hué et se proclame empereur l'année suivante, sous le nom de Gia Long. La dynastie des Nguyens (1802-1945) constituera un état réunifié nommé Vietnam, aux fontières semblables à celles d'aujourd'hui.
Les Nguyên derniers empereurs (les empereurs(cliquez sur le bleu)
Sous le règne du premiers des empereurs Nguyêns, le pays prospère et se modernise, les rizières verdoient et Hué se couvre de somptueux palais. Mais si Gia Long entretien de bonnes relation avec la France. Son fils Minh Mang (1820-1840), fin lettré et strict confucéen isole le pays et condanne le christianisme qu'il persécute. Lui succède Thiêu Tri (1841-1847), qui entrave la même pratique de repli du pays sur lui-même que son prédécesseur.
La colonisation
Carte de l'avanceée française en Indochine
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Photos de Missionnaires
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Aux sentiments religieux (persécution des missionnaires), s'ajoutent les intérèts économiques et commerciaux; la confontation devient inévitable. En 1847, la France lance une expédition militaire contre les forces impériales dans la baie de Tourane (Da Nang), Saigon est prise douze an plus tard, et l'empereur Tu Duc (successeur de Thiêu Tri)(1847-1883) cède trois provinces du Sud à la France en 1862. Suivent le offensive des troupes de Garnier, de Joffre, de Rivière et en 1887 la France domine l'ensemble du territoire du vietnam. Avec l'ajout du Laos et du Camboge, l'ensemble prend le nom d'Indochine Française ou Union Indochinoise. Il Nait alors le temps des "belles colonies".
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Ere coloniale
Carte de l'Indochine
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L'arrivée de Paul Doumer à la tête de l'Union Indochinoise, en 1897, fait souffler un vent de renouveau sur 
l'économie coloniale. Les routes et les rails se dessinent sur un paysage de plus en plus travaillé : mines de charbon, plantation d'héveas, de café, de riz, voire même d'opium. L'indochine devient profitable pour le colonisateur français, mais bénéficie peu aux paysans et aux ouvriers, qui vivent dans un grande dénouement.
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Prélude à la déchirure
Vers 1920, l'instauration d'un nouveau système d'éducation forme une élite intellectuelle vietnamienne qui se révolte contre l'occupant. La résistance à la colonisation prend plusieurs formes allant de la prose satirique à la guérilla meurtrière.
Les patriotes trouvent en Ho Chi Minh un chef incarnant leurs ambitions patriotalistes. En 1930 il fonde le Thanh Nien, mouvement politique, qui deviendra le parti communiste Indochinois, puis en 1941 Ho chi minh crée la ligue pour l'indépendance du Vietnam. Le Viet-Minh c'est un organisme de lutte contre les forces d'occupation.
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Seconde guerre mondiale, les Japonais débarquent (Haiphong 1941)
Durant la seconde guerre mondiale, placée sous l'autorité de Vichy, l'Indochine est le seul pays d'Asie 
orientale à échapper à l'autorité directe du Japon (qui néanmoins surveillent). Les Japonais qui s'intéressent peu à l'Indochine, moins importante à leurs yeux que la Chine, utilisent cette zone comme point de passage. En 1945 lors du retrait des troupes nippones,Ho Chi Minh profite du vide politique pour proclamer l'indépendance de la République Démocratique du Vietnam, le 2 Septembre 1945.
La Guerre d'Indochine
Carte du conflit
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Tout commence en Aout 1945 avec la capitulation du Japon. Aussitôt, le Viet Minh (lutte pour l'indépendance du Vietnam de nature communiste) avec à sa tête "Ho Chi Minh" proclame l'Indépendance de la République 
Démocratique du Vietnam le 2 Septembre 1945. Lorsqu'il débarque à Saigon, le corps expéditionnaire français commandé par le général Leclerc doit se livrer à une opération de reconquète. Il parvient à reprendre le sud et le centre, mais se heurte à une vive opposition du Viet Minh. En Mars 1946, un accord est signé entre les deux parties. Mais les pourparler trainent, le gouvernement français jouant à la fois la force et la négociation. Le conflit devient alors inévitable.
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Elle se déclenche le 16 Décembre 1946 avec l'insurrection de Hanoi à l'appel du Viet Minh. Au corps expéditionnnaire français s'oppose une armée populaire mal équipée mais connaissant le terrain, bénéficiant de la complicité plus ou moins forcée de la population et pratiquant la guérilla. Pour rassembler les mentalité, il placent en 1948 l'ex-empereur Bao Dai à la tête d'un état 
Vietnamien indépendant et associé dans l'Union Française (nouveau nom de l'empire colonial). En 1950 le conflit s'internationalise, conséquence de l'affrontement entre les deux blocs : guerre de Corée, aide matérielle américaine au français, soutient de la Chine devenue communiste et de l'URSS, au Viet Minth.
La statégie du Général Navarre d'attirer le Viet Minh pour le faire combattre dans les regles de l'art militaire va conduire au désatre de Dièn Bien Phu.
Le désastre de Dièn Bien Phu
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Une bataille décisive considèrée comme la plus importante défaite militaire française.
Le général Navarre, commandant en chef des forces françaises en Indochine, décide de protèger le Laos en en créant un verrou dans la "cuvette" de Dièn Bien Phu. Dès 1954 on y achemine 16000 soldats. L'ojectif étant d'attirer les troupe du général communiste Giap dans un camp retranché pour les réduire, un pont aérien est établi entre Hanoi et la "cuvette", entourée de collines aux prénoms féminins. Pendant ce temps, les vietnamiens s'organisent, tranportant leurs munitions et armes lourdes démontées sur leurs vélos et encerclent leur ennemi. Le 13 Mars 1954, un déluge de feux s'abat sur les 450 légionnaires. La garnison française est vite isolée... Au debut du mois de Mai, les collines tombent. Giap déclenche l'assaut final le 7 Mai, les forces du Viêt Minth se ruent sur le dernier point d'appui français et y plantent le drapeau rouge à étoile jaune. Le Général de Castries et ses 11000 hommes se rendent, après un siège de 57 jours et qui aura fait 3000 morts et autant de blessés côté français. 10000 prisonniers prennent alors le chemin des camps; seul le tiers en reviendra La France est sous le choc.
La France ne s'en remettra pas et décide d'engager serieusement des pourparler pour quitter le Vietnam. Les grande puissances se réunissent pour régler le sort de l'indochine et de la Corée, le 
21 Juillet 1954 est la date a laquelle s'achève les retrait definitif de la France. Le Vietnam reconnu indépendant est divisé en 2 état séprés au centre au niveau du 17e parallèle. : Le Vietnam du Sud Nationaliste, et la République Démocratique du Vietnam, communiste au Nord
Carte des fontières de l'indochine après les accords de Genève
Sud-Vietnam
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Nord-Vietnam
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Viet-Cong
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Vers un Affrontement
Pendant qu'au Nord se met en place un régime collectivisment et répressif avec Ho Chi Minh à sa tête, le président de la République 
du Sud Ngô Dinh Diêm un fervent catholique soutenu par les Américains, a fait déposer l'Empereur Bao Dai par réferendum truqué. Il instaure un dictature familliale qui suscite une vive opposition, notament chez les bouddhistes.
Tout semble se dessiner, en réalité il est tout autre, la création de deux états provoque un flux migratoire
. Dans le Nord, les catholiques, commerçants, chinois descendent vers le sud alors que dans le Sud les communiste, pro-marxistes feignent de monter dans le nord. Ceux qui restent passent dans la clandestinité.
En 1959, le pouvoir communiste du Nord décide de reprendre la lutte armée. L'année suivante est crée le Front National pour la libération du Sud Vietnam, un armée clandestine du Sud plus connue sous le nom de 
Viêt Cong. Le président Diêm s'avère incapable de réduire ces "maquisarts" renforcé par les infiltrations d'hommes et de matériels venus du Nord. Le Gouvernnement américain s'engage alors dans une politique interventionniste. Il accroit régulièrement le Sud en soutien matériel et financier ainsi que l'envoi de conseillers militaires (11000 en 1962). Cependant le régiem du président Diêm est de plus en plus impopulaire, le 1er Novembre, 
Diêm est renversé par un coup d'état militaire secrètement appuyé par les Etats-Unis, puis est assassiné 3 semaines plus tard. Le président kennedy est assassiné à son tour, Lyndon Johnson lui succède, il renforce l'enguagement.
Début de la Guerre du Vietnam
Carte du Conflit
En aoùt 1964, des navires américains et nord-vietnamiens échangent des tirs dans le golfe du Tonking. Suite à cet accrochage, le Congrès de Etats-Unis donne au président "tout pouvoir pour combattre le communisme". Après des bombardements aérien sur le Nord-Vietnam, les premières troupes terrestres 
américaines débarquent à Danang le 8 Mars 1965. En 1966, leurs effectifs au sud atteignent 362 000 homme, auxquels s'ajoutent 50 000 soldats alliés. Mais le général Westmoreland obtient peu de résultats face à la rapidité de mouvement et à l'adaptation au terrain du Viêt Cong. Tandis que la ligne "Mc Namara", un barrère électronique ultramoderne installée sur le ligne de démarcation, n'empèche guère les infiltration des communistes du Nord.
Tournant l'offensive du Têt
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En Février 1968, lors de la fête du têt (nouvel an Vietnamien), le général Giap lance la quasi-totalité des 
effectifs Viêt Cong (230 000 hommes) contre 105 villes du Sud. Aprsè 10 jours de combats acharnés, l'offensive du Têt est un échec sur le plan militaire. Les force du Viêt Cong sont décimées et tout le poids de la guerre reposera désormais sur l'Armée Populaire du Nord bien équipée avec l'aide de la Russie Soviétique et de la Chine. Mais politiqument et psychologiquement c'est une victoire sur le moral du sud et des alliés. La bataille autour de Saigon où l'ambassade des Etat-Unis est envahie durant quelques heures, et le massacre par les communiste de plusieurs milliers de personnes à Hué (destruction de la cité impériale) frappent de stupeur l'opinion américaine.
C'est le début des grandes manifestations pour la paix.
Enlisement du conflit
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Les Etat-Unis ont essayé un nombre incalculable d'expériences technique et médicales pour venir à bout des 
Viet Cong insaisissables dans la Jungle Vietnamienne. Comme le plus expéditif, qui a suscité la colère de la population : Le bombardement au Napalm (bombes enflammables) par avion ainsi des produits défoliants contenant de la dioxine et dénommés "agent orange", sous pretexte de débusquer les Viet Congs dans la forêt.
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Le mouvement pacifiste s'intensifie avec des manifestation de masse et des révélations d'exactions faites par les GI's. Aux manifestation civiles s'ajoutent le marasme de l'armée américaine sujette à des désertion, des sabotages, des mutineries... Le Vietnam est devenu un bourbier.
Fin et vers la réunification
Pour sortir de cet enfer, le 23 Janvier 1973, le nouveau président des Etats-Unis Richard Nixon signe un accord de cessez-le-feu. Les dernière troupes se retirent du Vietnam, sans gloire, en Mars.
En Décembre 1974, les communistes décident de declencher l'offensive finale pour s'emparer du sud. Au 
printemps 1975 toute l'armée du Nord se rue sur le sud à partir des haut plateau. Les villes tombent les une après les autres dans la débandade la plus totale. Saigon est prise le 30 Avril 1975, Les collaborateurs et sympathisants prennent la fuite ou les camps de rééducation.
Beaucoup plus tard dans les années 80, on a vu l'appartion des Boat-People. Ces Vietnamien en partance, en grand nombre, sur de frèles embarcation pour fuir le pays.
En 1976 le pays unifié devient la République Socialiste du Vietnam avec pour capitale Hanoi
Vers le capitalisme à la communiste
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Le gouvernnement se trouve face à deux impératifs : la consolidation d'un pouvoir fort sur un pays unifié et la reconstruction d'une économie ruinée par 30 ans de guerre. De plus ,en 1977, le Cambodge, gouvernné par le sanguinaire Pol Pot et les Khmer Rouges attaquent le Vietnam avec l'aide de la Chine. Le Vietnam réplique, et au debut de l'année 1979, prend Phnom Penh qu'il occupe pendant 10ans. La chine désapprouve ce geste et envahi quelques provinces du Nord, les Etats-Unis et les pays occidentaux non plus, qui initient un embargo.
La désintègration de l'URSS favorise les réformes économiques (Dôi moi - le renouveau), un perestroïka à la vietnamien avec pour slogan "changer ou mourir, et accélère l'ouverture du pays au tourisme et au commerce. Depuis, le Vietnam semble renaitre de ses cendres de ses deux guerres : la levée de l'embargo américain, en 1994, lui a insoufflé de grands espoirs. En 2000, le Président, Clinton devient le premier président américain à visiter le Vietnam réunifié. Son homologue vietnamien Phan Van Khai attendra 2005 pour se rendre à Whashington.
Rencontre Vietnam/USA
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Membre de l'EASEAN (Association des nation du Sud-Est Asiatique) depuis 1995 et de l'organisation mondiale du commerce depuis 1995, le pays s'est récemment hissé hors du sous-développement et vise à devenir, d'ici à 2020, un pays industrialisé.
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Venus de Malaisie, de Java, Bornéo, de Malaisie ou des Philippines les Cham ont occupé du début du IVe s. jusqu'au IVe s. une frange étroite de la pénisnsule indochinoise.
Ils seront en lutte contre les chinois leurs voisins au nord, puis au XIIe s; contre le Khmers. Au XIIIe s. lors du "raz-de-marée" mongol en Asie. Tandis que le Nord entre dans l'orbitre chinoise et que le sud dépend du Cambodge, le Champa perd peu à peu son identité. Les villes sont pillées, les populations se terrent dans les montagnes devant l'avancée du nord. Les viêt s'emparent de la majeure partie des territoire, et la capitale Vijaya (actuelle Dong Duong) est rasée en 1471. L'Empire Cham disparait sous les coup conjugué des Khmers et des Viêt, 1832 il disparait définitivement de la carte.
Né officielement Nguyen Sinh Cung, le 19 Mai 1890 à Hoàng Trù et mort le 2 septembre 1969, à Hanoï. Il prie un bonne trentaine de pseudonymes, Ho Chi Minh (celui qui éclaire) est le nom de guerre qu'il prendra en 1942 et qu'il gardera pour la postérité.
