Jour 3

Départ de l'hôtel pour la visite d'Anuradhapura

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Arrivée, on aperçoit un bout d'un dagoba

Visite d'Anuradhapura

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La ville fût pendant 1300 ans la première cité de l'île, capitale de 90 roi de Ceylan. On pense que c'est Pandukabhaya, successeur de Vijaya, qui un des premiers fondateur la ville fonde en 437av JC. Mais il est pratiquement certains que Anuradhapura était déjà occupée bien avant.

Les souverains successeur firent de la cité un foyer d'art et de spiritualité les plus actif et le plus brillant de leur royaume. Surtout sous les règnes de Dawanampiya Tissa (IIIe s av JC) et Dutugemunu (IIe s av JC).

La ville fut abandonnée sous le règne Vijaya Bahu Ier que la capitale fut déplacée en 1073 à Polonnaruwa, moins exposées aux incessantes attaques.

La ville abandonnée, petit à petit la jungle repris le dessus, envahissante, épaisse, parfois imprénétrable. Anuradhapura l'ancienne capitale devint le rapaire d'animaux sauvages.

En 1817, l'anglais Ralph Bachouse refit découvrir la cité enfouie dans la Jungle au monde moderne. Mais il fallut attendre 1912 pour que le gouvernnement britannique commence sérieusement à éffectuer des travaux pour degager la le site et le mettre en valeur.

Les spécialistes estiment que dans cette cité florissante de plus de 50 km2, on pouvait compter plusieurs dizaines de milliers d'habitants vivant dans des maisons à étage. Le roi demeurait dans un palais d'à peu prèt 1000 pièces entrouré de nombreux sanctuaires, temples quartiers d'habitations, réservoir d'eau...

Tour du site

J'ai volontairement ajouté les photos actuelles / avant-pendant la restauration, ce qui nous montre l'état de détrioration par la Jungle.

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Isurumuniya Temple

Ce temple rupest fait partie d'un vaste ensemble monastique qui date probablement du IIIe s. av. JC, mais ses bâtiments modernes sont sans intérêt. Le site est surtout célèbre pour ses cultures..

Royal Garden (Jardins d'agrément)

De ce parc des "poissons d'or" qui s'étendaient sur 14ha, il ne subsiste que deux bassins et des rochers sur lesquels étaient construits des pavillons.

Sri Maha Bodhi Tree (Arbre de Bodhi)

L'endroit le plus sacré du site et le plus surveillé, c'est l'enclos où a été plantée, il ya 2250 ans un bouture de l'arbre de la Bodhi, un Figus religiosa, sous lequel Bouddha reçut l'illumination.

Ce rameau est devenu un arbre immense, historiquement le plus vieux du monde; ses branche vénérables doivent être soutenus par des supports de fer. Il a perdu de son intérêt depuis que pour des raisons de sécurité, on ne peut plus accèder à son pied.

Tour de l'arbre qui est vraiment un lieu très religieux

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Brazen Palace (palais de Bronze)

De ce palais édifié IIIe s. avant notre ère par Dutugemunu pour abriter la communauté monastique du Mahavihara, il ne reste que 1600 piliers en pierre alignés en rangées de 40x40, de 3,80m de haut.

Les piliers servaient de base à l'édifice qui était en bois et aurait brulé quelques années après sa construction. Il comptait 9 étages et plus de 1600moines !

Dagoba Mirisavati

Pour fêter sa vitoire sur Elara, le roi Dutugemunu fit son premier dagoba à l'emplacement où sa lance était restée fichée, sur les rives du lac Tissa tandis qu'il se baignait.

Dagoba Ruvanvelisaya

Appelé aussi Mahathupa, le "Grand Stupa", ce dagoba dont le nom signoifie "poussière d'or", fut construit par Dutugemunu. Le roi avait ordonné que les ouvriers soient largement rénumérés. Leur tache, selon le Mahavamsa, se trouva facilitée par les dieux qui, chaque nuit, apportaioent des briques necessaires au travail du lendemain. Mais les souverain mourut avant son achèvement, pour lui faire croire que sont oeuvre était terminée, son frère fit élever une flèche provisoire en bambou recouverte de tissu blanc. Dutugemunu, pensant sont oeuvre achevée, mourut en paix.

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Lors de la reconstruction du dagoba en 1930, les ingénieurs ont aplati la courbe du dôme, détruisant ainsi la perfection de sa silhouette originale en "bulle d'eau". Selon la chronique(Mahavamsa), l'architecte avait présenté au souveraint son projet au souverain en versant un peu d'eau dans une coupe déjà pleine. Désignant la bulle qui s'était naturellement formée à la surface, il proposa d'en adopter la forme.

Dagoba Jetavanarama

Ce fut, lors de sa construction (en brique rouge), le plus grand du site. Il s'élevait alors à plus de 150m ! la flèche en partie détruite était couronnée d'un pinacle orné de pierres précieuses. On o an trouvé ici d'importants textes datant du IXe s. L'ensemble suibit aujourd'hui d'importants travaux de restauration. Au pied du dagoba, un petit sanctuaire abrit un Bouddha couché et coloré. Tout autour, s'annoncellent les ruines d'un monastère qui acceuillait jusqu'à 2000 moines avant le déménagement de la capitale vers Polonnaruwa.

Dagoba Thuparama

Le plus ancien dagoba du Sri Lanka fut construit pour abriter la clavicule droite de Bouddha, cadeau de l'empereur Asoka, toujours à l'intérieur. Mais il fut malheureusement reconstruit vers 1840 et sa forme a changé.

Kuttam Pokuna

Destiné aux ablutions des hauts dignitaires du Abhayagiri Vihara, le Kuttam Pokuna figurent parmi les ouvrages en pierre les plus purs et les plus beaux d'Anuradhapura (IIIe). Un système de canalisations souterraines avec filtre permettait d'alimenter les deux bassin appelés à tort "bains jumeaux" car il sont très différent par leur taille (40m contre 28m) et par leur ornement enfin ils n'ont pas été conçus par le même architecte.

Samadhi Bouddha

Exécuté dans un unique bloc de calcaire au IIIe ou au IVe s., ce Bouddha "en méditation" témoigne de la maitrise des artistes à cette époque. La statue est assise dans la posture du yogi, les mains posées sur les jambes croisées, les paumes l'une sur l'autre, tournées vers le ciel (geste de la méditation). On pense que les yeux étaient constitués de pierres précieuses. Sa protection en béton n'est pas terrible.

Dagoba Abhayagiri

Edifiié sous le règne de Vattagamini Abhaya. Cet edifice imposant, calculé comme le plus grand et le plus haut. Mais dévoré par la végatation avant qu'une restauration de grande ampleur soit mise en oeuvre, et toujours en cours.

Ratna Prasada

"Palais de Gemmes" du IIe av. JC, mais dont la structure actuelle date du roi Mahinda II (935-938), n'est plus que ruines, souvent appelées "écuries des éléphants" en raison de leur taille. Ancien centre de méditation, il conserve un stèle du VIIIe s. Derrière le Ratna Prasada, l'ensemble l'ensemble de constructions à piliers est une maison de l'image dotée d'une pierre de lune, très bien conservée, dommage que ce soit protègé par des grilles.

Dagoba Lankarama

Ce petit Dagoba, édifié vers 50 av. J.C. par le roi Vattagamani (89-77 av. JC), bien conservé car reconstruit en permanence.

Visite de Sigiriya

Cette forteresse de légende domine la jungle sur son rocher de pierre rouge perché à 370m d'altitude. C'est sur cette colline du lion que règna durant 18ans, de 477 à 495, le roi Kasyapa. Ayant éliminé son père Dhatusena en l'emmurant vivant et fait fuir en Inde son demi-frère Mogallana, l'usurpateur construisit ici son palais et son fort, ainsi que de nombreux édifices religieux. Voulant se faire pardonner son crime, il combla les moines de bienfaits. Grand amateur d'art éclairé, il fit venir à sa cour les meilleurs artistes de l'époque à qui l'on doit les fresques des demoiselles. Kasyapa vécut dans ce luxueux palais jusqu'au jour où en l'an 495, Mogallana revint d'inde à tête de mercenaires pour déposer l'usurpateur: ce dernier se suicida plutôt que de tomber aux mains de son frère. Le site fût encore visité durant 5 siècles si l'on en juge par les écrits de ceux qui vinrent y admirer les fresques, puis tomba dans l'oubli jusqu'au milieu du siècle.

Arrivés à Sigiriya nous aperçevons le rocher

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Après avoir franchis les douves ou se trouve un guichet et les anciennes fortifications an brique à l'ouest, on penètre dans les jardins. Dessinés au Ve S. "à la française", on accède au rocher par l'allée centrale.

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On accède à un escalier en pierre à travers une multitude de rocher pour monter ensuite sur une passerelle

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Les demoiselles

Ces splendides peintures constituent l'une de plus grandes curiosité et mystère de Sigiriya. Une douzaine de figure de femmes sur 550 à l'origine dessinées sur un pan de la montagne (fallait être fou pour dissiner à cette hauteur).

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Continuons l'ascension, on est pas encore arrivés

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Sur la Gauche d'anciennes constructions

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Nous arrivons sur une terrasse ou se trouve un lion de taille imposante dont il ne reste que les pattes de pierre qui constituait la façade du palais au milieu se trouve un escalier par lequel on accèdait (et on accède) au sommet par un escalier.

Pour monter plus haut il faut emprunter la passerelle, et là il ne faut pas avoir le vertige mais cela vaut le coup.

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