Jour 5
En route pour Kandy
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Au environ de Matale
La ville de Matale est réputée pour ses épices et également pour ses batiks
Visite d'un jardin d'épice à Matale
Entrée
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Notre accompagnateur nous a fait découvrir tout une variété d'espèces différentes dans cette "ferme tropicale"
L'Hévéa en tout honneur car il est partout, importé par les britannique au XVIIe siècle de l'amazonie en toute clandestinité
Et sa précieuse récolte du latex...
Le latex liquide blanc qui ressemble à du lait qui sert à produire du caoutchouc
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Le Jacquier
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Cardamone
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Café
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Poivre
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Clous de Girofle
Cacao
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Aloe Vera (espèce d'aloes)
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Vanille
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Cannelle
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Harissa
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Noix de Muscade
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Ananas
ceux ci étant une variété non prévue pour l'alimentation, mais pour la fabrique de produits cosmétiques et pharmaceutiques.
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Autres non répertoriés
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Résultat qui fait la réputation et vivre cette "ferme aux épices" c'est la transformation de toutes ces plantes en produits cosmétiques naturels et épices pour la cuisine.
Et la traditionnelle boutique
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Préparation d'un curry aux lentilles avec des épice locales par notre guide (je n'ai pas compris pourquoi ce cour de cuisine)
Ingrédients:
Lentilles rouges, oignons, ails, tomates, poivrons, lait de cocos, piments, etc...
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Préparation tout un art !
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Déjeuner avec les produit typique de la ferme aux épices
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Visite d'un atelier de Batik
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La technique artisanale du batik, fait à la main, est apparue vers le XIVe et XVe siècle en Asie, Afrique. Malgré l'industrialisation, il restera longtemps un art.
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Le procédé de fabrication du batik est réalisé suivant une méthode très simple : Les parties qui ne doivent pas être colorées sont enduites d'une couche de cire avant d'être d'être trempées dans la teinture ou en peignant directement dessus. La cire est ôtée soit avec un fer à repasser, soit par trempage dans de l'eau bouillante.
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Si l'opération parait simple pour les batik monochrone, le travail se complique quand il s'agit de pièces à plusieurs couleurs. Autant de passage à la cire, autant trempage, autant de grattage. La complexité du travail (jusqu'à 8 couleurs) justifient les prix parfois très élevés.
La production en série est beaucoup plus abordable. Les motifs sont réalisés avec des tampons de caoutchouc, appelés caps, trempés dans la cire. Avec cette méthode rapide d'impression, l'étoffe est toujours plus colorée à l'endroit qu'à l'envers, alors qu'avec les vrais batiks, les deux faces des tissus sont identiques.
Les batiks fait à la machine ont des dessins plus réguliers et plus arrêtés. ils sont aussi beaucoup moins chers.
Passage a la boutique
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Temple Hindou Sri Muthumariamman, de matale visite rapide
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Arrivée à Kandy
Enfin à Kandy, la capitale religieuse et culturelle de l'ile. La ville est localisée dans un sorte de cuvette à 488m d'altitude entouré de montagnes verdoyantes et d'un lac qui s'est formé grace à une large boucle du fleuve du fleuve Mahaweli Ganga.
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"Checking" de la chambre, quelque minutes de repose et départ pour le spectacle floklorique.
Spectacle de danse orientale, en soirée.
La danse originale sri-lankaise date depuis des temps immémoriaux, on parle de plus de 2500ans. A l'origine il vit son apparition lors de cérémonies religieuses ou pour fêter un évènement royal important.
On retrouve trois type de danses (parmi d'autres) :
- La danse Kandy (de la région des collines)
- La danse de Sabaragamuwa (du centre)
- La danse de la côte ou des plaines du sud.
Le rythme de la danse s'éffectue au son des tambours et d'autres instrument de musique traditionnels. Des danseurs et des danseuses (à l'origines que des hommes) effectuent des mouvements des pieds et des mains au rythme de la musique. Les costumes et les couleurs claires et compliqués représentent un histoire racontée au son de la musique.
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Ces danses traditionnelles restent trés minoritaires et marquent profondément les origines des traditions anciennes des sri lankais.
De la plupart des danses traditionnelles celle de Kandy reste la plus ancrée dans les esprits et est considérée comme typiquement srilankaise, étroitement associée avec l'idée de danse nationale. Car Kandy ancienne et dernière capitale des roi du Sri-Lanka jusqu'en 1815 pour devenir ensuite la capitale de l'empire colonial britannique de l'île. D'où le désir fort d'une tradition ancienne relayé par des artistes qui ont developpé la musique et de la danse dans les villages de la région.
Sur les sons et les rythmes des tambours (symboles de la parole et de la magie), les danses se fixèrent, sous plusieurs formes : Ves (la plus ancienne, magique), Naiyandi (danse de cour), Udeki (danse rituelle), Pantheru (jonglage et équilibre avec disques), Vannam (solos dansés sur des chants couvrant de nombreux thèmes, dont dix-huit "classiques").
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Durant notre siècle, ces danses ont considérablement évolué sous l’impulsion de grands maîtres. En gardant le mystère et la rigueur technique originelle, ces danseurs ont enrichi leur tradition par les influences venues de l’Inde du Sud et par leurs recherches vers la danse contemporaine. Répondant à l’envie du peuple cinghalais, ils ont magnifiquement su adapter les formes de la danse ancienne à la représentation dramatique et au ballet.
Video (cliquez sur l'images)
