Sri Lanka

Sri Lankā Prajathanthrika Samajavadi Janarajaya (singalais)

இலங்கை சனநாயக சோஷலிசக் குடியரசு (tamoul)

Democratic Socialist Republic of Sri Lanka (anglais)

République démocratique socialiste du Sri Lanka (français)

 

Religions et Croyances

 

Légende

Jour 1 départ de Paris
Jour 12 Arrivée à Paris

 

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Bien moins compliquée qu'en Inde, la religion tient une place très importante dans la vie des Sri-Lanka durant notre circuit nous avons constaté qu'elle prenait une place considérable dans la population.

 

Les Bouddhistes

 

Estimée à 69% de la population, le Bouddhisme est très lagement majoritaire. cette religion est pratiquée par plus de dix millions de SriLankais, Singhalais en majorité. Le Sri Lanka reste fidèle au Bouddhisme originel, le Theravâda, ou "voie des anciens(ses disciples)". Cette école de pensée que l'on trouve en Birmanie, en Tahaïlande, au Cambodge et au Laos, le Mahayama ("grand véhicule").

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A cause des dominations tamoules hindouistes, celui-ci a pourtant connu des succès épisodiques dans l'île, au IIIe siècle puis au VIe-VIIIe s. En Inde le Bouddhisme atteignit l'apogé de sa diffusion au Ve siècle et y perdit par la suite progressivement la protection des souverains au profit de l'Hidoudhisme, au Sri-Lanka il y disparut a pu près complètement à cause des Tamouls Hindouiste dominateurs. En 247 av. JC, la conversion à la doctrine Bouddha par le roi Dewanamapiya Tissa marque son acte de (re) naissance à Ceylan. Où il ne cessa de prospèrer. De nos jours, protégé par la Constitution du Sri Lanka, il tient dans le domaine religieux, social et politique un rôle d'une importance considérable. La communaué des moines ou bhikkhu, perpétue l'étude et la transmission de l'enseignement du Bouddha.

 

Bouddha au travers du Ceylan

Les Chroniques royales (le Mahavamsa et sa continuation, le Culavamsa) mêlent étroitement l'histoire de l'île à celle du bouddhisme. Elles rapportent que, de son vivant, Bouddha se serait rendu à trois reprises à Ceylan en empruntant la voie des airs, pour y prêcher en différents lieux qui sont aujourd'hui autant de buts de pèlerinage (masthana). A Mahiyangana, il aurait remis un de ses cheveux au dieux Saman, qui l'acceuillit aussi au sommet du Sri Pada (pic d'Adam) où il laissa l'empreinte de son pied. A Kelaniya, il siègea devant une assemblée de génies-serpents (naga) et à Anuradhapura, il médita à l'emplacement de huit futurs grands sites (l'arbre Bo, le palais d'Airain et les six dagoba-Ruvanvelisaya, Mirisavati, Thuraparama, Lankarama, Abhayagiri et Jetavana). Pour les mêmes raisons, les Chroniques font débarquer dans l'île Vijaya et ses compagnons, ancètres de la monarchie bouddhiste singhalaise, le jour de la mort de Bouddha.

 

 

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Bouddha

 

 

Bien qu'adoré depuis, le personnage à existé, de son vrai nom Siddhârta Gautama (en pali Siddhattha Gotama), appelé aussi Sakyamuni vécut on le pense entre 624 et 544 avant Jésus-Christ, sans en avoir la certitude. Les récits de la vie du Bouddha, perpétués par la tradition orale, ne seront rédigés que quelques centaines d'années après sa mort. Les écritures bouddhistes mélangent métaphysique et légendes concernant la vie du Bouddha.. Il naquit à Lumbini au fin fond de l'Inde et du Népal, sa mère, la reine Maya accoucha debou suspendue à une branche et l'enfant sortit de son flanc droit. Siddarta aurait fait aussitôt sept pas dans chacunes des quatres directions pour montrer sa suprématie sur le monde. A 16 ans il se maria et son épouse lui donna un fils. Il vécu dans l'aisance jusqu'à 29ans âge où trois rencontres lui firent prendre conscience de la souffrance des hommes : la maladie, la vieillesse et la mort. son chemin croisa celui d'un moine qui lui enseigna la voie du renoncement. Il abandonna alors son palais, sa femme et son fils pour adopter la vie d'un religieux errant dans l'espoire de découvrir une délivrance à tant de souffrances. A l'âge de 35ans, il se retira à Bodhgaya (Inde) pour méditer. Il lui fallut trois nuits de veille pournpour que se déchire le voile de l'ignorance et qu'apparaisse la vérité au cours de ce que l'on appelle "l'Eveil" (Bodhi).

Bouddha voyagera, durant les quarante-cinq dernières années de sa vie, dans la région du Gange et de ses affluents. Il enseignera sa pratique en matière de méditation et fondera la communauté des moines et des nonnes bouddhistes (le sangha) pour perpétuer ses enseignements après sa disparition.

Bouddha, sentant sa mort venir, demandera à son disciple à Ananda de lui préparer un lit entre deux arbres sala (Shorea robusta). Il décédera ainsi à Kusinara (Kusinagar en Inde, dans l'actuel Uttar Pradesh) à l'âge de quatre-vingt ans. Les derniers mots du Bouddha seront : "L'impermanence est la loi universelle. Travaillez à votre propre salut".

 

 

Les Hindouistes

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Les hindous rassemblent près de 3 milions d'adeptes, soit près de 15% de la population. C'est la religion des Tamouls datant de 3000ans avant notre ère, à l'origine elle est apparue et s'est developpée en Inde. Elle s'est propagée dans la péninsule indienne au cours des multiples invasion avant de parvenir dans l'île au cour du Ier millénaire, propagée par les souverains tamouls.

 

Les temples hindous contemporains se signalent par leur gopuram, porche en forme de pyramide tromqué où s'entassent des dizaines de divinités bariolées. Leur côté héthérogène de personnages et d'annimaux colorés de couleur vive a de quoi surprendre, mais on siat là qu'il sagit de temples hindous. L'intérieur habrite toujours le lingam de Shiva, la vie du temple, souvent modeste, s'anime à l'aube et en fin d'après midi, pour la puja, rite d'offrande par lequel on honore les dieux avec de l'eau, un noix de coco, de l'encens, des fleurs ou la flamme d'une lampe à huile.

 

Concept de l'Hindouisme

De Brahama, l'être suprème, créateur de l'univers, procèdent Vishnou, le consèrvateur, et Shiva le destructeur. L'ensemble de ces divinité constitue la trinité hindoue ou Trilurti. Shiva est cepandent la trinité la plus vénérée dans le sud de l'Inde et au Sri Lanka. Shiva est l'époux de la déesse Parvati et le père de deux fils, Ganesh (le dieux à tête d'éléphant) et Skanda (reconnaissable à ses deux inséparables attributs : le vel, la lance sacrée, le paon. Skanda est d'ailleur -à tord- appelé : le dieux de la guerre. En vérité ce dieux, représenté le plus souvent comme un tout jeune enfent, poupin et rieur, n' rien de belliqueux. Simplement il a été choisi par les divinités supérieurs pour combattre et vaincre les esprits du mal. Dans les temples, on identifie tout de suite la chapelle consacrée à Shiv au lingam qui représente -stylisé- l'organe viril, symbol de ce dieux et de sa puissance créatrice. La form de dévotion la plus courante rest et la plus visible reste la tikka, cet "oeil divin" dessiné sur le front de la majorité des fidèles. On apprend ainsi à reconnaitre les dévots de Shiva aux trois barres tracées avec de la cendre sur leur pointrine ou sur leur front. Si l'un des fidèles, au contraire, porte sur le front; entre les deux yeux un V, c'est un adorateur de Vishnou.

 

 

Tous deux nés en Idne Le Bouddhisme et l'hindouhisme partagent certaine conceptions qui se rejoignent. Leur adeptes croient en, avant toute chose, à la transmigration de l'âme. Toute vie humaine est douloureuse; chacun doit renaitre jusqu'à ce que les fautes qu'il a commises dans la vie précèdent soient payées par d'autres souffrances au cours d'une vie nouvelle. Ces renaissance inexorable ne peuvent prendre fin que par une succession de vies particulièrement vertueuses ou par certaine pratiques comme le yoga. Ces convictions pmarquent profondément la vie des hindous, tous les jours de leur existence, ainsi que leur attitude devant le déroulement de la vie et la fréquence comme d'actes religieux.

 

Les Musulmans

 

Les musulmans représentent environ 7% de la population, majoritairement des pêcheurs, des petits commerçants et des agriculteurs et detiennent une grande partie du commerce, en conséquence logique ils jouent un rôle important dans l'économie de l'île. Bien que les musulmans soient parfaitement intègrés, ils se différencient de la majorités des Sri Lankais par leur leur monothéisme et les plus religieux se déplacent avec leurs barbes et leur djllabas. Les musulamans sont principalement concentré le long de la côte Ouest et de l'Est.

 

Les Chrétiens

 

Représentant 8% de la population, le christianisme fût répandu dans l'île par les Portuguais au XVIe sicècle, lors de la conquista espiritual, avec les missions jésuites, dominicaines et franciscaines.

 

L'activité des émissaires protestants se développa au début du XVIIe s. avec les missions organisées par la compagnies hollandaise des Indes orientales, puis avec les missions anglaises.

 

Les Autres

Les animistes : Parmi l'une des plus ancienne de l'ïle, Croyance qui attribue une âme aux animaux et aux objets.

 

Le Zoroastrisme :Religion monothéisme très ancienne d'origine Perse (Ier Millénaire avant JC) crée par Zoroastre (de son vrai nom Zarathousta car déformé). Le Zoroastrisme est encore pratiqué par 200 000 ficèles dans le monde notamment en Inde et en Iran. Les Parsis à l'origine des Perses, venus en indes pour propager la religion, aujourd'hui les Parsis concerne les membre qui pratiquent le Zoroastrisme.

 


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Les Moines

 

En se promenant dans les rues il n'est pas rare de rencontrer ces personnages, vètus de robes de couleurs safran, au crâne rasé (obligatoire) qui a imposé l'usage du parapluie pour se protèger du soleil et de la pluies.

Le Sri-Lanka compte environ 25300 religieux dont 300 femmes, Le nom originel d'un moine en Pali (la langue des textes religieux anciens), est bhikkhu, ce qui signifie "mendiant". En effet le moines ne doivent rien possèder vivre sans emplois ni foyers et vivre par l'aumône. Un moine n'a le droit (en principe) qu'à trois robes, un bol pour la nouriture, une paire de sandales, un fil et une aiguille pour, un parapluie et un rasoir. Etant sans attaches il doit toujours être prêt à se déplacer...

Hormis le port de la robe, dont la couleur varie du jaune au rouge en passant par l'orange et le noir, ils ne sont plus contrains comme avant, d'aller faire du porte à porte mendier leur nourriture avec leurs bols. La société ayant evolués, il sont très respectés par la population, etant plus cultivé cultivés, il donnent de très bon conseille et gardent un grand pouvoir politique.

A la différence des autres religions notamment catholique, le moine ne représnete pas un intermédiaire ente le pouvoir tout puissant et les fidèles. Il suit sa voie spirituelle en quête de la vérité.

On différencie deux type de moines: Les actifs, ceux que l'ont rencontre le plus souvent dans les temples, en contact directement avec les laîcs et servent de guide spirituel. En échange de leurs "bons" conseils les fidèles leurs donnent de la nourriture et objets pratiques. Les contemplatifs, ceux qui vivent dans les centres de méditation ou les monastères et se sacrent à la vie et l'étude de Bouddha. Ils ont peu de rapports avec la population sauf quand celle ci leur apporte de la nourriture lors de cérémonies religieuses.

Les moinillons

Ceux que l'on voit dans les monastères ont été placés par leurs parents, soit pour des raisons économiques, soit pour les préserver de mauvaises influence décelées dans leur horoscope à leur naissance. Ils pourront quitter le monastère à leur majorité, mais peu le feront, eur réadaptation à la vie extérieure étant très difficile, c'st vus d'un mauvais oeil par la population.

 

En entrant dans les ordres pour devenir "acolyte" (Semanera en pali), le novice doit respecter dix préceptes de base : s'abstenir de tuer, de voler, de mentir, de s'enivrer, d'avoir des rapports sexuels, de se nourrir quand le soleil a passé midi, de dormir dans un lit confortable, de participer à des divertissements, de se parfumer, de possèder de l'argent Les voeux définitifs ne peuvent être prononcé qu'à l'age de 20ans, ils deviennent alors définitivement moines (upasampada en pali).

 

 

 

Le figuier des pagodes, ou arbre de la Bodhi, ou pipal (Ficus religiosa), est un arbre appartenant au genre Ficus, de la famille des Moracées.

C'est un arbre sacré pour les bouddhistes. « L'arbre de la Bodhi » le plus célèbre est situé à Bodh-Gaya, à environ 100 km de Patna dans l'État d'Indien du Bihar, et c'est sous son feuillage que Bouddha, le fondateur du bouddhisme, a atteint la Bodhi, l'Éveil ou connaissance suprême.

Drapeau Bouddhique

Fondé le 25 mai 1950, en présence de 26 délégations représentantes 26 nations réunies en congrès à colombo qui choisi officiellement et unanimement ce drapeau, signe de l'unité bouddhisme dans le monde.

Le drapeau utilise les 5 couleurs dégagées par l'aura du Bouddha au moment de son Éveil. Ces cinq couleurs représentent les cinq sources de perfectionnement indispensables à la pratique bouddhique.

Cinq bandes verticales unies se succèdent :

Devanampiya Tissa le premier roi , qui se convertit au bouddhisme avec tout son peuple au milieu du IIIe s av JC. Aux palais d'Anuradhapura qu'il a déjà édifié s'ajoutèrent de vastes monastères et des monuments bouddhiques grandioses
Originaire le l'Inde le Prince Vijaya est considèré comme le premier grand roi de l'île
Ville qui fût pendant 1300 ans la première cité de l'île, capitale de 90 roi de Ceylan (aller sur la page Jour3)

Ce pélerinage est fréquente depuis plus de dix siècles : à la fin du XIe siècle le roi Vijaya Bahu avait fait construire des abris destinés aux voyageurs, les débuts de l'excursion sont aisés mais deviennent difficiles (voir la photos).

Cette montagne, au sommet de la cloche on fait tinter un cloche autant de fois qu'on a fait le pèlerinage, est vénérée sous le nom de Sri Pada par les bouddhistes, les hindous, les musulamants et les chrétiens. A son sommet (2250m) s'ouvre une cavité que les premiers considèrent comme une empreinte du pied (sri batul) de Bouddha, les deuxièmes du pied de Shiva, les troisièmes du pieds d'Adam qui, expulsé du paradis fut obigé de séjourner sur le sommet (sont second pied serait posé sur la Kaaba, la pierre sacrée de la Mecque); enfin les chrétiens y voient la trace du pied de saint-Thomas.

Grace au Mahavamsa (grande chronique), un texte rédigé de manière, ininterrompue et très détailée, par des moines bouddhistes du Mahavihara (monastère d'Anuradhapura) . Cette chronique des temps anciens raconte les origines de l'île à partir Ve siècle avant J C sur des feuilles de tallipot. Les suivants, le Divapavamsa et Culavamsa, évoquent tous les petits et grands évènements qui se sont déroulés jusqu'au XIXe siècle.

Le drapeau Sri Lankais, chargé de symboles, est inspiré de celui de Wickrama Singha, le dernier souverain de Kandy. Il fut emporté par les anglais et conservé à Londres jusqu'en 1952.

Lors de l'indépendance, il remplace le drapeau anglais avec quelque modifications. Le Lion représente la force et brandit un sabre, attribut de l'égalité et de la justice. Les quatre feuilles au coin de l'arbre sacré (Ficus bô) évoquent les quatre vertues du bouddhisme : la bonté, la compassion,la joie et la sérénité. Les quatres couleurs du drapeau représentent : la sagesse avec le jaune, la force avec le rouge, et les communautés minoritaire avec l'orange pour le Tamouls et le vert pour les musulmans.